Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 11:33

Je suis une femme dominatrice qui souhaite vous faire part de l'expérience de notre couple. Lorsque j'ai découvert qu'il me trompait plutôt que de le quitter, j'en ai fait mon chien de garde et ma bonniche. Il vous racontera notre histoire dans les prochaines semaines. En attendant je vais vous poster quelques histoires que j'ai appréciées. N'hésitez pas à laisser un message....

Et si vous souhaitez Mesdames quelques idées pour que l'on vous respecte, et bien j'essayerai de vous aider

 

Estelle,

Par Erog - Publié dans : plaisir
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 12:45

 

J'étais dans la droguerie de monsieur Gardon, ce jour-là. On y trouvait de tout et de rien. On l'appelait, pour ainsi dire, le "bazar" du village. Des journaux aux engrais en passant par les farces et attrapes ou encore des freins pour bicyclettes, on pouvait toujours fouiner avec étonnement dans ses rayons.  

 

Monsieur Gardon lisait une revue derrière sa caisse. J’allais fêter mes 20 ans dans deux jours et je cherchais un cadeau qui puisse me plaire… puis le demander à mes parents.

 

Tandis que je déambulais dans le côté librairie de la boutique, deux têtes connues firent leur apparition. Maria et Nadia, toujours aussi inséparables que les doigts d’une main. Elles avaient été avec moi en apprentissage… Enfin, entre deux escapades et renvois pour injures ou violences. De mon âge, elles ne cherchaient pas de travail. Elles vivaient ensemble dans une maison abandonnée que le maire avait bien voulu leur « léguer » après la mort de la mère de Nadia. Maria était une gitane qui avait quitté son clan depuis des années, alors qu’il campait dans un pré communal. Depuis, elle était restée avec Nadia. Les mauvaises langues du village les prétendaient de petite vertu et subsistant de rapines. Le maire, lui, avouait volontiers qu’elles touchaient quelque  chose de la commune. Démêler le vrai du faux restait cependant le dernier de mes soucis.  

 

Quoi qu’il en fut, je décidai de les surveiller. J’aimais bien monsieur Gardon et je ne   voulais pas que ces garces lui volent quelque chose.  

 

Nadia me jeta un regard en coin en voyant que je les observais. Une fille assez   grande – plus que moi – toujours outrancièrement maquillée, avec de grands yeux verts de chat,  lançant des éclairs effrayants à ses nombreux ennemis. Ses lèvres étaient très charnues et ses  cheveux gras d’un brun très sombre, coiffés n’importe comment.  

 

Sa copine Maria avait vraiment tout d’une gitane. Des cheveux noirs très épais, aussi sales que ceux de son amie. Des yeux bruns vicieux, un visage très typé. Plus mignonne que Nadia  mais également plus petite. Elle possédait une poitrine opulente, qui attirait les garçons. Ceux-ci  s’en repentaient toujours. J’avais eu écho de vols après des flirts avec Maria.  

 

Les deux complices affichaient en permanence un sourire corrompu particulièrement   énervant. De plus, elles portaient constamment les mêmes vêtements, des robes trouées, grossièrement rafistolées, des collants effilés. Leurs chaussures paraissaient lamentables et il se  dégageait d’elles une désagréable odeur de transpiration et d’urine. Je me souvenais que cela avait été un motif d’exclusion de leur patron d’apprentissage. Il leur avait demandé si elles se lavaient parfois et Nadia avait insolemment répliqué qu’elles attendaient qu’il vienne leur lécher les trous, devant tout le monde.  

 

Monsieur Kirby, le propriétaire de l’ébénisterie, avait vu rouge. Leur renvoi avait duré deux mois. Nadia et Maria commencèrent donc à se promener entre les rayons, s’étant séparées. Pour moi, il n’y avait qu’une explication à cela : elles cherchaient à chiper quelque chose.    

 

Heureusement que monsieur Gardon avait fait installer des miroirs ronds au plafond. Je pus ainsi les tenir à l’oeil sans qu’elles s’en rendent compte. Leur petit manège dura cinq bonnes minutes. Elles m’ignoraient totalement, mais je finis par comprendre ce qui les intéressait. Une montre superbe que le droguiste exposait au-dessus des journaux et valant pas loin de mille francs.

 

Les deux copines passèrent à l’action alors que je m’étais baissé pour les surveiller plus discrètement. Maria se rendit à la caisse et commença à questionner le vieux bonhomme au sujet d’une histoire d’huile de moteur. Nadia attendait près de la montre que monsieur Gardon soit  complètement plongé dans ses explications pour tendre la main doucement. Puis, avec une habileté consommée, elle s’empara de la montre, protégée par un beau boîtier rouge, et la fit glisser entre ses seins pointus.  

 

Abasourdi par tant de culot, je me relevai soudain et m’écriai :  

_ Remet cette montre à sa place !  

Nadia ne s’était pas attendue à ce que me retrouve derrière elle. Elle sursauta et se retourna. Son regard vert me transperça avec violence, glaçant mon sang. Je n’avais jamais vu tant de haine dans ses yeux. Une lueur meurtrière avait passé et je n’osai plus dire un mot, de peur qu’elle ne me saute dessus pour m’étrangler.

 

Derrière Nadia, monsieur Gardon s’était levé. 

_ Eh ! s’écria-t-il. Qu’est-ce qui se passe, là-bas ? Tu as des problèmes, Christian ?  

En entendant mon prénom, je tressaillis. Nadia ressortit alors la montre d’entre ses seins, dont je vis une bonne partie. Cette fille n’avait aucune pudeur. Je pensais qu’elle allait la remettre en place mais, au lieu de cela, elle me l’envoya en plein visage. Je reçus l’objet sur la joue et la douleur me fit crier. Néanmoins, j’eus le réflexe de la rattraper avant qu’elle ne tombe par terre.

 

Le droguiste voulut alors saisir Maria par le col mais celle-ci lui cracha au visage et lui envoya un coup de poing dans la poitrine. Le vieux Gardon, surpris par tant de violence, fut projeté contre sa chaise et s’étala avec elle de tout son long. Maria se trouvait déjà sur le pas de la porte.

 

_ Viens, Nadia ! cria-t-elle à son amie. Ce con va appeler les gendarmes si on reste là !

 

Mais Nadia ne fit qu’un pas en arrière. Elle me dévisagea avec haine.

 

_ Toi ! lança-t-elle en me désignant d’un index sale. Toi, tu vas nous payer ça ! Je te jure que tu vas le payer très cher !

 

Puis, elle tourna les talons et déguerpit à toute vitesse avec sa copine. J’allai immédiatement aider monsieur Gardon à se redresser. Il s’épousseta en toussant.

 

_ Quelles vipères, dit-il. Heureusement que tu as l’oeil, Christian ! Autrement, je perdais cette montre !

 

Je lui rendis son bien, qu’il examina. Le choc n’avait pas été très violent. J’avais juste la joue un peu rouge et la montre n’avait rien.

 

_ Vous allez appeler les gendarmes ? demandai-je en le dévisageant.

 

_ Bah, non ! C’est pas la peine… Ils viendront, il faudra aller déposer plainte… Perte de temps parce que, de toute façon, elles n’ont pas réussi leur coup. Elles doivent avoir l’habitude ! Et je ne veux pas qu’elles viennent ensuite pour se venger… Mais je les surveillerai, la prochaine fois. Ça m’apprendra à vouloir faire confiance à des canailles pareilles ! Mais toi, tu ferais bien de faire attention à Nadia. Cette fille est dangereuse !    

_ Je sais, monsieur, je sais…

 

Le lendemain de l'incident, je croisai à nouveau Nadia et Maria, à la supérette du village. La plupart des gens les ignoraient royalement, surtout les femmes. Qui aurait pu avoir des affinités avec ces deux pestes ? Certains hommes les contemplaient pourtant avec amusement. Ceux qui n’avaient pas eu à faire à elles…

 

Ce furent des courses particulièrement pénibles. Je sentais le regard de Nadia peser sur moi comme une épée de Damoclès prête à s’abattre. Lorsque je voulus vérifier cette impression, je croisai ses terribles yeux verts qui, s’ils l’avaient pu, m’auraient brûlé vif. J’en fus persuadé !

 

Pourtant, monsieur Gardon n’avait pas appelé la gendarmerie et les deux voleuses n’avaient pas été inquiétées.  

Une fois arrivé en caisse, j'eus le malheur de constater que Nadia et Maria se trouvaient juste devant moi. Dans mon champ de vision : la tignasse grasse et épaisse, plutôt sale, de la petite gitane. Elle avait rabattu le foulard d’un rouge délavé et orné de fleurs imprimées qu’elle portait d’habitude.

 

J’entendis, tandis qu’elles déposaient leurs courses sur le tapis, mon prénom dans la bouche de la grande. À un moment, Nadia se retourna et me gratifia d’un regard meurtrier accompagné d’un sombre sourire carnassier. Je ne parvins qu’à entendre quelques bribes de phrases me concernant. Apparemment, elles avaient un plan pour me faire payer mon intervention de la veille. Quel plan, ça, je n’en sus rien.

 

Une fois mes courses réglées, je sortis et pris le chemin pour rentrer. Je n’avais que trois cents mètres à parcourir mais vérifiai sans cesse que les deux folles ne me suivaient pas. Une fois rassuré, je mis machinalement une main dans ma poche tout en portant mon sac de provisions de l’autre. Mes doigts se refermèrent sur un bout de papier.

 

Curieux, je le sortis de la poche de mon blouson. Une feuille blanche, pliée en quatre, qui n’avait rien à faire à cet endroit. Je la dépliai fébrilement, imaginant bien sûr qu’il s’agissait de menaces proférées par Nadia ou sa copine gitane.

 

Mais non ! C’était un message de Sylvie Chambon, certainement la plus belle fille du village. Tous les jeunes avaient le béguin pour elle. Moi-même, j'en étais secrètement amoureux.

 

Je lus la missive quatre fois, pour être bien certain d’en saisir tout le sens. C’était pourtant parfaitement clair. De sa belle écriture ronde et ample, elle me demandait de l’aider à rédiger un CV et une lettre de motivation, ce soir-même, après le dîner, chez elle.

Sylvie précisait que je ne devais en parler à personne… Un rendez-vous secret ! Voilà qui fit bondir mon coeur et me fit oublier les deux vipères.

 

Je rentrai chez moi, plus allègrement que jamais. Un rendez-vous secret, même pour de la paperasse, restait un rendez-vous secret ! Il était vrai que j’avais toujours été doué en écriture.

 

Et pour mon imagination romanesque, cette demande cachait forcément une déclaration emflammée. Je me surpris même à essayer de lire entre les lignes…

 

Un rendez-vous secret ! Quelle veine j’avais, d’être doué en français. Je n’en revenais pas… Un rendez-vous secret !  

Je marchais d’un pas alerte. La soirée était belle. Le soleil, qui n’allait pas tarder à se coucher, faisait flamboyer l’horizon ouest que je distinguais par moments à travers la brume qui enveloppait constamment les maisons du village. Je tenais à la main un petit classeur plat, de couleur bleue. Il contenait plusieurs ébauches de lettres de motivation et quelques exemples de curriculum vitae. Un rendez-vous secret avec Sylvie Chambon, même s’il ne devait durer qu’une heure, serait déjà merveilleux en soi.

 

Il faisait vraiment bon ce soir-là. J’avais juste mis ma veste brune. Arrivant près du bureau de poste, je ralentis instinctivement le pas. Pour rallier la maison de Sylvie sans faire un détour, je devais passer près de la baraque décrépie où vivaient Nadia et Maria. Le souvenir de ce qui s’était passé dans la droguerie restait vivace. Un moment, je voulus faire le détour mais cela m’aurait fait perdre plusieurs minutes. Non ! Je n’allais pas avoir peur de deux filles ! De toute façon, je n’avais rien à me reprocher. Fort de cette décision intérieure, je pris le chemin le plus court.

 

La tête haute, je passai dans la ruelle où se trouvait l’entrée de la vieille maison que le maire avait offert à Nadia. Un endroit sombre et désert. Un pincement au coeur me saisit en passant près du portillon. Pourtant, rien ne se passa… Et je me détendis, pensant le danger écarté. Je devais être à quelques mètres de la porte quand je l’entendis grincer. Mon rythme cardiaque s’affola et je me retournai comme un diable. La battant s’ouvrait doucement. Certain que les deux vipères allaient surgir pour m’étriper, je voulus prendre les jambes à mon cou. Mais une force me propulsa droit sur l’entrée. Je fus bousculé et projeté dans la maison maudite avant de réaliser qu’on m’avait lâchement attaqué par-derrière.  

 

La porte se referma immédiatement et j’entendis une clé tourner tandis que je me relevais. Car j’avais été poussé si violemment que j’étais tombé. Deux ombres se tenaient devant la porte. L’une d’elles alluma la lumière d’un corridor d’entrée sale et miteux.

La peur me saisit au point que je poussai un cri de stupeur et d’horreur. Nadia et Maria se tenaient devant moi, chacune portant une longue lame. Le pire de mes cauchemars se réalisait. Je fus certain qu’elles allaient me tuer, m’enfoncer leurs couteaux de boucher dans le ventre et la gorge… Je reculai jusqu’à rencontrer un mur.

 

_ On t’avait dit que tu allais nous payer le coup, chez Gardon ! grinça aussitôt Nadia.

_ Grimpe l’escalier ! cria ensuite Maria en pointant son arme vers moi de façon menaçante.

J’avais les jambes qui tremblaient et la tête qui bourdonnait. Jamais, de toute ma vie, je n’avais connu pareille peur. Passant devant elles, j’empruntai l’escalier que la gitane m’indiquait.

Les marches grincèrent de manière sinistre. Les deux pestes me suivirent de près.

Nous nous retrouvâmes à l’étage, dans un état lamentable. La tapisserie, vieille de plusieurs décennies, se décollait et s’effritait partout, jaunie par le temps. Des fissures ornaient le

plafond. Le sol était si poussiéreux qu’on en distinguait à peine les lattes.

Toutes les portes se révélèrent closes mais une ampoule fixée à deux fils diffusait une lumière jaunâtre. Je vis immédiatement la trappe du grenier ouverte et un escabeau en bois placé en dessous.

 

Nadia me poussa vers lui, très violemment, manquant me renverser à nouveau.

_ Grimpe là-haut, connard ! Tu vas passer plusieurs sales quarts d’heure avec nous !

Sans réfléchir, j’obtempérai et escaladai l’escalier branlant. Une fois au sommet, je dus me hisser à la force des bras dans le grenier. Les deux garces me suivirent de près. Je n’eus, à aucun moment, le réflexe de les repousser. J’avais bien trop peur de ces immenses lames qui brillaient, si tranchantes et pointues.

Par aplaisirs - Publié dans : domination
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 12:59

chapitre2

 

 

 

L’endroit avait été aménagé. Le sol ne semblait pas trop sale, de la lumière filtrait par une fenêtre s’avançant dans le toit. Autrement, l’endroit mansardé paraissait plutôt bien isolé.

J’aperçus un lit ancien, quelques meubles, deux tapis… Une table et trois chaises côtoyaient des bassines et des récipients.  

Un bruit sourd me fit sursauter tandis que j’étudiais les lieux. Maria venait de refermer la trappe. Les deux garces me fixaient avec des yeux meurtriers.

_ Écoutez ! commençai-je en levant les mains pour les calmer. Je suis désolé pour hier. Je ne sais pas ce qui m’a pris !

_ Ta gueule ! aboya Nadia. Tes excuses, tu les feras plus tard ! Et à notre manière !

Tout mon corps se raidit devant la haine qu’exprimaient les deux visages salis par des traces noirâtres. L’odeur âcre de cet endroit confiné me donnait à penser qu’elles ne le lavaient certainement pas souvent.  

_ Je ne peux pas attendre, dis-je en baissant les yeux. J’ai un rendez-vous… On va s’inquiéter pour moi…

_ Un rendez-vous ! répéta Nadia en éclatant de rire. Tu entends ce petit con ? Il a un rendezvous…

Je parie que c’est cette salope de Sylvie Chambon qui l’attend !

 

 

 

Les deux comparses se mirent à rire méchamment et à me montrer du doigt. Ayant relevé la tête, j’ouvris de grands yeux, réalisant soudain que la petite lettre avait réellement été un piège !

_ Tu crois vraiment qu’une fille comme Sylvie pourrait s’intéresser à un merdeux comme toi ? ricana Maria. On va peut-être t’attendre mais personne ne sait que tu es ici ! Et tu es sûrement tellement con que tu n’as osé dire à personne que tu avais un… rendez-vous ! Hahaha !

Je devais être cramoisi. Mes joues brûlaient horriblement. Quelle honte ! Quelle humiliation que d’avoir implicitement avoué mes sentiments pour Sylvie et d’être tombé dans un traquenard aussi grossier.

_ Ça suffit ! grognai-je en prenant un air déterminé. Laissez-moi partir, maintenant !

 

Je fis mine de me diriger vers la trappe d’accès de ce grenier sale et trop chaud. Mais

Nadia me barra immédiatement le chemin et approcha dangereusement son couteau de ma gorge.

Complètement affolé, je reculai de deux pas, tête rejetée en arrière.

_ Tout doux, mon mignon, siffla-t-elle. Tu vas rester avec nous ! Et pour bien commencer les choses, tu vas te foutre à poil !

Ma bouche s’entrouvrit tandis que j'assimilais ce qu’elle venait de m’ordonner. Ses grands verts pétillaient de vice et de méchanceté. Ses lèvres ourlées se retroussaient en un rictus malsain. Elle me dominait de sa haute taille, me força à reculer, encore.

_ Mais… Mais pourquoi ? réussis-je à bégayer.

_ On va les revendre, tes frusques, expliqua Maria en s’approchant à son tour. Ça nous fera toujours un peu de pognon !

_ Mais je ne vais pas rentrer chez moi tout nu ! protestai-je.

_ Qui te parle de rentrer ? lança la grande brune. Tu vas rester avec nous, mon chou ! Tu peux admirer ta nouvelle maison… Ou plutôt, ta nouvelle prison !

_ Mais vous êtes folles ! criai-je. Pas question ! Quelqu’un préviendra les flics ! Mes parents ! Et c’est vous qui irez vraiment en prison !

_ Ça te ferait bander que ça se passe comme ça, hein ?

 

Nadia me fixa droit dans les yeux. Je n’eus pas la force de soutenir ce regard si malfaisant.

_ Seulement, personne sait que t’es ici ! Et si jamais tu t’avises de crier, je te jure que je te coupe la bite et les couilles… Et que je te les fais bouffer !  

_ Ouais, poursuivit Maria en jubilant. Qu’on t’explique un peu… On en a marre de se brouter le minou sans pouvoir bien se marrer… On a besoin d’une petite lopette pour qu’on s’amuse avec, quoi… Tu feras très bien l’affaire ! Et tu pourras rester à poil, personne te verra à part nous !

Pour l’instant…

 

Elles recommencèrent à rire en se regardant. Elles en avaient les larmes aux yeux.

Mais je n’étais toujours pas décidé à me laisser faire… Jusqu’à ce que ces deux vipères placent

leurs pointes de couteau sur mon ventre.

_ Ça fait très mal, dans le bide, me susurra Maria à l’oreille. Mon oncle est mort avec un éclat de bois dans les tripes… Il a agonisé quatre piges avant de clamser !

Je déglutis, commençant à transpirer à grosses gouttes.

_ Enlève tes fringues ! cria Nadia, à bout de patience. Mets-toi complètement à poil !

 

Cette fois, je fus acculé à cette dernière extrémité. Je n’avais plus d’autre choix que d’obéir ou mourir. Après mon murmure d’une faible approbation, elles firent marche arrière et attendirent d’assister au spectacle de ma déchéance.

Ma veste brune passa entre leurs mains. Elles la placèrent dans un grand sachet de supérette. Je retirai ensuite mon pull, mon tee-shirt et mon pantalon. Le tout suivit le même trajet.

Leur exhiber ainsi mon corps fluet me procura d’étranges frissons. Elles se délectaient de me contempler et de m’insulter, me traitant de lavette et de « Blanche-Neige » ainsi que d’autres mots charmants.  

   

Mes chaussures et chaussettes se retrouvèrent rapidement dans le même sac plastique bleu et blanc. J’eus des réticences à retirer mon slip. Dévoiler ainsi mon intimité à deux filles que je craignais et détestais me rendais fou de colère et de honte. J’étais certainement plus rouge qu’une tomate.  

 

_ Nadia t’a dit complètement à poil ! Fais-nous voir ta bite !

   

Les yeux clos, je baissai mon slip noir le long de mes cuisses, me penchant pour le faire passer sous mes pieds. Puis, je leur tendis le sous-vêtement, gardant les mains le long du corps, pris de vertiges à force d’humiliation.

 

_ Pas trop mal, la queue ! souffla Nadia.  

_ Ouais… On pourra peut-être s’en servir parfois pour baiser…

 

Le sarcasme fit son effet et je sentis mon ventre se serrer de dégoût et d’horreur. Elles firent encore quelques commentaires sur mes poils, mes couilles « pleines » et mon petit cul « rond ». Je les laissai dire sans répliquer, essayant de garder la tête froide. Mais, au fond, j’étais ivre de colère… et de peur !

 

_ Je ne veux pas rester ici ! finis-je par dire d’une voix altérée par le désespoir.  

_ Pourquoi ? cria Nadia. Parce que c’est crade ? Qu’est-ce que tu crois ? Qu’on a le choix ?

 

On est obligé de vivre dans cette baraque de merde ! Et toi, tu vas rester avec nous ! Tu vas nous servir de jouet, de petit chien… Même de pute, si on en a envie !

 

_ Personne pensera jamais à venir te chercher ici ! continua Maria. Alors, on va prendre tout notre temps pour nous occuper de ton cas ! Et pour commencer, tu vas nous présenter tes excuses… à notre manière !

 

Je me doutais déjà que cette « manière » serait bien plus humiliante que de simples excuses orales. Mais mon coeur bondit une fois encore en entendant Nadia demander à son amie :

 

_ Va chercher la corde au rez-de-chaussée ! Celle qui est dans le placard de la vieille cuisine. Je surveille ce petit connard en attendant…

 

_ D'acc' !

 

La gitane rouvrit la trappe et disparut dans l’orifice. Demeuré seul avec la grande brune, je gardais les yeux baissés. L’idée de profiter qu’elle soit seule pour tenter quelque chose m’effleura. Mais elle était plus grande que moi, plus forte… et armée d’un couteau. Je risquais d’être gravement blessé.

 

Elle se mit à tourner autour de moi en sifflotant. Je finis par lui jeter de rapides coups d’oeil, constatant qu’elle me détaillait des pieds à la tête.

 

_ Je pensais pas qu’un merdeux comme toi aurait une si belle bite, admit-elle. Tu sais t’en servir, au moins ?  

_ Qu… quoi ?  

La question m’avait totalement pris de court. Et le petit rire qui suivit me tétanisa de honte.

 

_ Hihihi… J'te demande si tu sais bien baiser ! Mais t’es sûrement encore puceau ! 

_ Quoi ? Mais… Mais non ! Je…

  J’avais relevé la tête, prêt à défendre mon honneur. Pourtant, ce n’était que la vérité :  

j’étais vierge. Et je fus incapable de lui faire croire le contraire. Elle le lut immédiatement dans mon regard et partit dans un nouvel éclat de rire.

 

_ Hahaha ! C’est pas vrai ! Notre nouveau joujou est puceau pour de vrai ! Oh, mais ça va être un régal de t’apprendre tout ce que tu dois savoir pour faire plaisir à des jolies filles comme nous !

 

Mes joues chauffèrent à nouveau. Nadia, les yeux pétillant d’un éclat neuf, passa sa langue sur ses lèvres si épaisses.  

_ J'te plais, minable ?

 

Une nouvelle question qui me laissa sans voix. J’aurai voulu lui répondre que non, qu’elle me dégoûtait, me révoltait et me répugnait tout à la fois. Mais je me sentis troublé. En fait, avant cet instant, je ne m’étais jamais réellement demandé si je la trouvais attirante. Elle ou sa copine, d’ailleurs.  

Je la regardai subitement sous un jour nouveau. Était-ce parce que j’étais nu devant elle, contraint et forcé ? Nadia n’était pas vilaine de visage. Sa grande bouche attirait le regard, oui, mais je devais dire qu’elle avait des lèvres très sensuelles. Et ses yeux… si verts et intenses…

 

_ On dirait bien que oui, continua-t-elle. Je parie qu’en fait, t’es amoureux de moi et pas de cette conne de Sylvie !

 

Je fronçai les sourcils. Par-delà son sourire arrogant et moqueur, ce fut qu’elle ose parler de Sylvie en l’insultant qui me remua les entrailles. Je sentis une bouffée de colère me monter au visage.

 

_ Sûrement pas ! crachai-je alors.

  _ Ah non ? On va voir ça…  

_ Mais… Qu… Qu’est-ce que tu fais ?

 

Devant moi, Nadia fit glisser les bretelles de sa robe sur ses bras. Et, tout d’un coup, ses seins nus apparurent, pointus et pâles. J’en avais déjà eu un petit aperçu à la supérette mais là, ils s’offraient à mes yeux sans aucune protection.

 

La bouche entrouverte, je ne parvins pas à quitter des yeux ces deux citrons blancs surmontés de gros mamelons roses. Des seins comme je n’en avais jamais vu, même dans les magazines cochons que vendait sous le manteau monsieur Walter, le boucher. Ma colère venait de s’évaporer subitement.

 

_ Alors, monsieur le justicier de la droguerie… Ils te plaisent, mes nichons ? T’as envie de les toucher ?

 

Elle fit un pas vers moi en me présentant, sans aucune pudeur, sa poitrine nue. Je n’en revenais pas. Une boule dans la gorge, j’avais du mal à avaler. Et, pire encore, ma verge se mit à durcir sans que le veuille. Bien sûr, cela n’échappa pas à cette garce qui continua à se pavaner devant moi, me laissant admirer ses appâts sous tous les angles.

 

_ Hahaha ! J’en étais sûre ! Je te plais, sale petit merdeux ! Hein ?

 

Une question qui n’appelait pas vraiment de réponse. Je demeurai figé, hypnotisé par cette poitrine dénudée. Ils étaient hors norme, ces « nichons », comme elle disait. Visiblement fermes. Des cônes très pâles, assez écartés, certainement doux… Et ces tétons plus sombres, disproportionnés…

 

_ Je parie que tu te branles chez toi, la nuit, en imaginant que tu les lèches, mes nénés… Pas vrai ? T’as envie de les lécher ?  

Ses paroles crues auraient dû me heurter, me donner envie de répliquer. Au lieu de ça, mon sexe se mit à garde à vous, mon gland commençant à sortir du prépuce. Je voyais bien que Nadia ne cessait de reluquer mes parties… avec une sorte de gourmandise à faire peur ! Et elle ne s’arrêta pas à cette provocation !

Par aplaisirs - Publié dans : soumission
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 13:41

20150501_074041.jpg    chapitre 3

 

 

 

 

Gardant ses seins nus, elle releva tout d’un coup sa robe pour m’exposer son collant noir filé par endroits… et la culotte qu’elle portait par-dessous. De sa main libre, elle abaissa le tout à mi-cuisses, dévoilant un buisson de poils noirs.

 

_ Et ma chatte ? T’as envie de la voir, ma chatte ?

 

Les yeux écarquillés, je fixai le fouillis velu sous lequel se devinait le renflement de ses grandes lèvres sexuelles.

 

_ T’as envie de la lécher, peut-être ?

 

Je ne voulais pas évoquer ça dans ma tête. Mais ses mots… je me vis en train de passer ma langue dans sa « chatte », la supposant malpropre, malodorante… terriblement animale !

 

Et voilà que je bandais comme rarement, mon gland entièrement sorti, pour le plus grand ravissement de cette fille sans gêne.

 

_ Hahaha ! Tu peux secouer la tête, petit con… Ton zizi de puceau sait pas mentir, lui !

 

 

Du bruit au niveau de la trappe mit fin au petit jeu de Nadia. Mais elle garda les seins nus et son pubis à l’air. La tête de Maria apparut. Elle revenait avec une bonne longueur de corde…et n’avait pas abandonné son couteau.

 

_ T’as pas commencé sans moi, j’espère ? fit la plus petite en voyant sa copine à moitié nue.

 

_ Naaan ! T’en fais donc pas… Je voulais juste savoir si je lui plaisais…

 

_ On dirait bien que oui !

 

Maria reluqua longuement ma verge, avec les mêmes yeux gourmands et dangereux. J’aurai voulu ramollir mais voilà que je me mettais à voir également la gitane d’une nouvelle manière… À me demander à quoi ressemblait sa lourde poitrine… ou son postérieur qui faisait toujours un gros renflement dans ses vieilles robes. Même de visage, je lui trouvai quelque chose d’attirant… Elle était un peu plus mignonne que Nadia, semblait un peu moins garce mais tout aussi vulgaire.

 

_ J’espère que c’est pas un lapin, poursuivit-elle. Tu sais comment j’aime m’en servir, de la queue d’un mec !

 

Nadia pouffa, paraissant encore plus émoustillée :

 

_ On va vite le savoir ! Et si c’est un lapin, on lui donnera ce qu’il faut ! Allez… On fait comme on a dit ?

 

_ Ouaaaiiiiiis !!

 

Elles s’approchèrent, leurs couteaux levés dans ma direction. Je mis mes mains en avant, ne sachant pas ce qu’elles avaient en tête, paniquant à cause de cette ignorance.

 

_ Qu… Qu’est-ce que vous allez faire ?

 

_ Tu voulais t’excuser, avant, nan ? cracha Nadia, le regard à nouveau très dur. Mais avant ça, faut que tu paies !

 

_ Que… Quoi ? Mais… Non !

 

_ Ta gueule ! s’écria Maria en agitant la lame dangereusement près de mon ventre. Et assieds-toi par terre ! Le dos contre le lit !

 

La pointe de la lame piqua tout d’un coup le haut de ma cuisse. La douleur me fit glapir. Elles ne plaisantaient pas ! Une goutte de sang perla.

 

_ Grouille !

 

_ Oui ! Oui ! Mais fais gaffe avec ce couteau ! Regarde ! Je le fais !

 

Ma voix avait grimpé dans les aigus tant j'avais peur qu’elle me plante son arme quelque part dans le corps. Sans réfléchir je m’assis sur le sol poussiéreux et reculai jusqu’à ce que mon dos touche le lit qui se trouvait contre l'une des deux cloisons non mansardées.

 

_ Vas-y, Nadia ! Attache-le !

 

_ Avec plaisir !

 

En voyant la corde changer de main, je compris ce qui m’attendait. Je me remis à secouer la tête, affolé à l’idée de me retrouver sans défense face à ces deux folles.

 

_ Non ! Écoutez ! Ce n’est pas la peine ! Je ferai tout ce que vous me demanderez ! Tout !

 

La grande venait de saisir un de mes mollets et, avec habileté, fit un noeud dans la corde qu’elle enserra autour de la cheville. Elle possédait une force surprenante, pour une fille.

 

_ T’as intérêt à te laisser faire si tu veux pas que Maria te coupe les couilles !

 

La gitane s’accroupit en face de moi, son couteau bien en vue. Je ne pus m’empêcher de reluquer entre ses cuisses légèrement écartées. Elle aussi portait un collant noir passablement usé. Et, visiblement, une culotte sombre dessous.

 

Paralysée par la peur, je fus le témoin tremblant et nu de la privation progressive (mais rapide) de mes gestes. Nadia semblait parfaitement savoir ce qu’elle faisait. La longue corde passa autour des montants métalliques du lit, qui était lui-même fixé au sol par d’épaisses pattes rouillées et de grosses vis dans les mêmes tons bruns.  

Un poignet subit les affres du chanvre… puis le second. Je n’arrivais toujours pas à réaliser ce qui me tombait dessus. Ni à vraiment comprendre ce que ces deux garces me réservaient comme sort. Elles avaient dit qu’elles comptaient me garder prisonnier ici… Mais quelqu’un finirait forcément par s’inquiéter de ma disparition, non ? Mes parents… Enfin, je l’espérais… Et elles voulaient  «s’amuser » avec moi ? Il y avait eu des allusions sexuelles… Pourtant, venant de leur part, cela pouvait tout aussi bien être une moquerie.

 

Nadia agissait toujours avec cette étonnante rapidité, achevant par mon autre cheville. J’avais désormais les bras à l’équerre sur le bord du matelas… crucifié assit à même le sol. 

Une jambe tendue d’un côté… Lorsqu’elle tira sur le bout restant, mon autre jambe fut tirée à l’opposée. Une douleur brutale dans les aines me fit crier.

 

_ Ta gueule ! ordonna Maria en approchant la pointe du couteau tout près.

 

_ Mais ça fait trop mal !

 

_ M’en fout !

 

Serrant les dents, les larmes aux yeux, je fis un effort pour ne pas exprimer ma souffrance aussi directement. Quand Nadia se redressa, un sourire satisfait à ses lèvres si pleines, je  

compris… Ligoté contre ce vieux lit métallique, les cuisses très écartées, les bras étirés de part et d’autre, j’offrais mes parties génitales de la plus totale des manières.

 

Maria se releva à son tour. Je ne pouvais plus bouger. Du tout.

 

_ Voilà, fit la grande. C’est mieux comme ça… Et maintenant, tu vas payer pour le sale coup que tu nous as fait !

 

J’écarquillai les yeux, fou de terreur en les voyant s’amuser avec leurs couteaux, imaginant déjà qu’elles allaient m’émasculer ! Et ce fut avec un soulagement sans nom que je les contemplais, posant leurs armes sur la table basse, à côté du lit.

 

_ C’est vrai que t’es puceau ? demanda la gitane.

 

Je ne répondis pas. Mes joues chauffèrent d’un coup et je sus que je rougissais. Un aveu suffisant pour cette petite brune qui aurait été tellement mignonne sans son air vulgaire et ses vieilles robes sales. Elle se tourna vers sa copine et débuta un échange auquel je ne saisis tout d’abord pas grand-chose :

 

_ On pourrait lui donner un exemple de ce qui l’attend…  

_ Slips ?  

_ Slips et collants !  

_ T’es dégoûtante !  

_ Je sais… C’est ça que t’aimes chez moi, nan ?  

_ Mmmmm… Ouuuiiiiiii…

 

 

Elles se fixaient avec une telle intensité et il se dégageait d’elles un tel magnétisme animal que ma verge, encore bien dure, tressauta. Elles approchèrent leur visage l’une de l’autre… se tendirent les lèvres… s’embrassèrent tout d’un coup avec une passion incroyable. La rumeur disait donc vrai : lesbiennes ! Enfin, plus sûrement bisexuelles puisque chacune avait déjà couché avec au moins une de mes connaissances.

  Quand elles se séparèrent et me toisèrent à nouveau avec ce mépris dont elles savaient faire preuve, je me sentis encore plus humilié.

 

La bouche ouverte, je les vis alors retirer leurs chaussures puis faire glisser leurs collants sombres et filés sur leurs jambes. Je vis pour la première fois la pâleur des mollets de Nadia et les cuisses plus bronzées de sa copine gitane. Des jambes très différentes mais finalement plutôt agréables à regarder…

 

Mon trouble s’accentua encore quand elles retirèrent leurs culottes et que j'aperçus le buisson fourni de leurs pubis. Je venais de voir celui de Nadia quelques minutes plus tôt et j’avais deviné plus que vu les poils de Maria, qui semblaient aussi noirs que sa chevelure.

 

L’instant suivant, une odeur à la fois pisseuse et marine me parvint. Ça me rappela les crevettes tout autant que les toilettes. Elles ne devaient vraiment pas se laver souvent !

 

_ Je suis sûre que tu vas faire un excellent petit lécheur, fit doucement la plus grande. Tu crois pas, minable ?

 

 

 

 

Les joues à nouveau brûlantes, je demeurai la bouche entrouverte, ne sachant pas quoi répondre, le coeur cognant dur dans ma poitrine. Je n’avais jamais fait l’amour… des questions se bousculaient dans ma tête. De quoi voulait-elle vraiment parler ? De leur lécher le sexe, à toutes les deux ? Je n’osais croire qu’elles me demanderaient cela… L’espérais et le redoutais en même temps ! Ce n’était pas du tout ainsi que j'avais envisagé ma « première fois ».

 

_ Il répond pas, poursuivit Maria. Il a peut-être peur qu’on lui demande quelque chose de trop sale…

 

_ Et il aurait raison ! Tiens, regarde, sale petit merdeux !

 

Nadia s’approche tout près de moi, m’exhibant sa culotte, la dépliant et mettant le renfort juste sous mes yeux. Un slip en coton qui avait dû être blanc au départ. Sa couleur grisâtre témoignait de son âge… et les traces brunes et jaunes que j’y vis firent s’agrandir encore davantage mes yeux.

 

_ Tu trouves qu’il est crade ?

 

J’opinai, ne pouvant nier ces longues traces brunâtres et cette énorme tache pisseuse. De plus, il dégageait une odeur vraiment puissante, de sueur, d’urine et des notes amères d’excréments.

 

_ C’est normal, poursuivit-il. On a pas beaucoup de pognon, pas de machine pour laver le linge… Alors on est obligé de les garder parfois plus de deux semaines… Celui-là, ça fait depuis mardi dernier que je l’ai pas changé…

 

Elle fit ressortir le renfort souillé et le passa soudain sur mon visage.

 

_ Tiens, renifle ! Hahaha !

 

Des frissons d’horreur électrisèrent la peau de mes joues. J’eus beau secouer la tête, elle continua de frotter les parties sales de son sous-vêtement sur mon nez, ma bouche, mes yeux…

 

_ Il a l’air d’aimer ça, commenta la gitane. Regarde comme sa bite saute !

 

_ C’est parce qu’il sent enfin les odeurs d’une fille pour de vrai !

 

_ Non ! Non ! Stop !

 

Elle n’écouta pas et continua encore un moment, riant comme une petite folle. Je ne pouvais même pas contredire Maria. Je sentais ma verge pulser, bouger toute seule. Et je n’arrivais pas à croire que ces odeurs, cette saleté, que même ma situation puisse m’exciter de cette manière. 

Quand enfin elle arrêta, ce fut pour me mettre la culotte sur le crâne, à la manière d’un bonnet. Les parties sales sur mes cheveux, bien entendu. Je commençais à ressentir des douleurs musculaires à cause de mon immobilité forcée.

 

_ Détachez-moi, s’il vous plaît ! m’entendis-je implorer. J’ai compris ! Je vous jure que je ne me mêlerai plus de vos affaires ! Je suis désolé !

 

Les deux garces se regardèrent et pouffèrent subitement, comme si elles ne croyaient pas ce qu’elles entendaient.

 

_ Eh ! aboya la gitane. Ta punition vient à peine de commencer, pauvre con ! On s’en tape, de tes excuses ! On veut que tu paies !

 

_ Mais vous allez me relâcher ? Hein ?

 

Un nouvel échange de regards, que je ne compris pas. Elles avaient l'air de se connaître tellement bien qu’elles n’avaient pas besoin de parler. Maria s’accroupit finalement devant moi et roula sa culotte noire en boule, la face qui avait été en contact avec ses parties intimes tournée vers l’extérieur.

 

_ T’es vraiment trop con, souffla-t-elle. T’as pas encore pigé, hein ?… Pas grave ! Ouvre la bouche !

 

_ Non !

 

Je scellai mes lèvres, devinant ce qu’elle projetait de faire. Mais elle pinça soudain un de mes mamelons avec cruauté.

 

_ AAAAHHRRRRRGHMMMMMMM ! MMMMGH ! MMMMMGHHHHR !  

 

La gitane fourra son slip sale dans ma bouche, étouffant mon cri. Immédiatement, mon palais et ma langue furent agressés par des saveurs poivrées autant que salées.  

Je voulus recracher la chose par réflexe mais la petite brune vicieuse m’en empêcha.

 

_ Nadia ! Viens m’aider !

 

La grande arriva à son tour, riant toujours, les yeux brillant d’une sale excitation. Je vis, affolé et dégoûté, qu’elle prit les collants pour les passer autour de ma tête. En moins de vingt secondes, les deux paires de nylon servirent à maintenir le bâillon immonde dans ma bouche. Pire encore, cette vipère aux yeux verts s’arrangea pour que les extrémités où avaient marinés leurs pieds sales se retrouvent juste sous mes narines.

 

Quand elle se redressèrent, j’étais au bord de la nausée… et excité comme jamais encore de ma vie. Les effluves lourds et vinaigrés, terriblement intimes, que dégageaient les collants m’enivrèrent à une vitesse incroyable. Les puissantes odeurs s’incrustèrent dans mon nez tandis que je salivais comme un fou sur le slip en coton entièrement enfoncé dans ma bouche.

 

Je savais qu’il devait être aussi répugnant que celui que j’avais toujours sur le crâne. Avec des traces brunes de matières fécales, des auréoles d’urine et de cyprine séchées, des reliquats de sueur et peut-être même de menstrues. Tout cela formait un cocktail de goûts épicés impossible à ignorer.

 

Mes deux ravisseuses se régalèrent longuement de ma déchéance, riant de leur victoire totale.

 

_ Alors, pauvre minable ? s’enquit Nadia. Qu’est-ce que tu préfères ? L’odeur de nos pieds ou le goût des trous de Maria ?

 

Bien sûr, bâillonné, je ne pus répondre. Pourtant, malgré l’abjection de ce qu’elles me faisaient endurer, je bandais toujours plus dur.

Par aplaisirs - Publié dans : soumission
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 14:20

chapitre 4

 

 

 

_ Avant-goût, tu veux dire ! la reprit sa copine. C’est juste pour l’habituer, tu sais bien…

 

_ Vu comme il bande, c’est sûr qu’il aime ça ! Je t’avais dis que ce serait un bon client, ma chérie !

 

Ces sous-entendus attisèrent mon angoisse. Je ne savais toujours pas quel sort me serait réellement réservé. Il me paraissait irréalisable qu’elles veuillent me retenir dans ce grenier, contre mon gré, plus longtemps qu’une journée. Elles devaient juste vouloir me faire peur.

 

_ Ça reste à voir ! reprit Maria. On va déjà vérifier s’il tient bien la route…  

La gitane tira les deux chaises proches pour les placer en face de moi. Les garces s’installèrent confortablement dessus puis levèrent les jambes pour me présenter leurs pieds nus et sales à quelques centimètres du visage. Nadia eut un ricanement entendu avant de demander d’une voix aussi suave que cruelle :

 

_ Dis-nous, suceur de slip… Tu les trouves pas mignons, nos petits pieds ?

 

Elles les approchèrent encore, presque jusqu’à me faire loucher dessus. Leur puanteur, je les avais déjà à travers les collants qui agaçaient mes narines. Et j’eus également droit à leur crasse, voyant chaque ignoble détail. Les talons brunis, les plantes salies, les souillures noirâtres entre leurs orteils. Nadia avait les pieds les plus grands et les plus pâles, avec des doigts longs et fins. Ceux de Maria, plus potelés et petits, possédaient la même couleur tirant sur le caramel que le reste de son corps. Mais les quatre personnages malpropres devant mes yeux luisaient de sueur et ne semblaient pas avoir connu le savon depuis plusieurs jours.

 

Vicieusement, elles écartèrent leurs orteils plusieurs fois, me laissant entrevoir les innombrables boulettes de crasse, collantes et certainement puantes, qui se nichaient entre. Une vision perturbante, car elle m’émoustilla une fois de plus en même temps qu’elle me répugna.

 

La gitane, tête penchée de côté, sourire enjôleur aux lèvres, susurra ensuite :

 

_ Je parie qu’il a envie de les embrasser… de les câliner…

 

Je secouai la tête. Comment pouvait-elle penser une chose pareille ? Elles se remirent à rire, me laissant à penser qu’elles avaient finalement chacune un petit grain dans la tête.  

 

Nadia fit glisser son pied gauche sur ma poitrine. Le contact m’électrisa autant que celui des sous-vêtements souillés sur mon visage. C’était tiède et humide… vaguement collant.

 

Lorsqu’elle effleura de son gros orteil mon téton, je me raidis dans mes liens, me faisant mal.

 

_ Sensible des bouts ? questionna-t-elle en faisant tourner son doigt de pied sur mon mamelon qui gonflait. Mmmmm… J’aime !

_ Mmmmmghhh… Mmmmmgrrrrhhh !!!

 

Impossible de sortir le moindre le son compréhensible. La peur remplaça lentement l’appréhension. Je secouai encore la tête, les yeux certainement exorbités. Et ça leur plaisait, de m’avoir ainsi à leur merci ! Je pus le lire dans chaque expression, l’entendre dans chaque rire moqueur !

 

Maria fit comme sa copine, avec l’autre téton. Bientôt, j’eus les quatre pieds malpropres et humides qui jouaient sur mon torse, titillant mes bouts, chatouillant mes côtes, caressant mon ventre. Incapable de me protéger, je subissais cela en véritable torture, les yeux rivés sur les ongles assez bien coupés mais sales dessous.

 

Le supplice dura longtemps. Peut-être une dizaine de minutes, qui me parut une éternité… au terme de laquelle chacune descendit un pied vers mes parties génitales.

 

Le premier contact sur ma verge me fit cesser de respirer quelques instants. Nadia, de son long pied fin et blanc, caressa toute la hampe, très légèrement. Jamais je n’avais connu de contact plus incroyablement charnel et répugnant ! Lorsque Maria passa ses orteils boudinés sur mes testicules sans défense, je fus comme paralysé intérieurement, avec l’impression que mon coeur subissait une décharge de 1000 volts ! Dans mon esprit, un effroyable scénario se joua : et si elle décidait de donner des coups dans ma bourse ? Ou de l’écraser sous son talon ? Je ne pourrai strictement rien faire pour l’empêcher.

 

Elle ne le fit pas mais les deux semblèrent fasciner par la goutte translucide qui perlait sur mon méat.

 

_ Ben dit donc ! lança Nadia. On dirait qu’il est amoureux de nos pieds !

 

_ Tu crois qu’on arriverait à le faire juter comme ça ?

 

Je compris à cet instant ce qu’elles avaient eu en tête sans doute depuis le début…avant même de me tenir entre leurs mains. Le terrible sourire de Nadia quand ses yeux verts croisèrent les miens me tétanisa encore davantage.

 

_ En moins de dix secondes, je parie !

 

Sous leurs éclats de rire moqueurs et excités, je subis alors une forme de masturbation inédite... et terriblement efficace ! Nadia prit ma verge entre ses deux longs pieds pâles et imprima un mouvement de piston volontairement maladroit. Dans le même temps, les orteils de Maria pianotèrent sur mes testicules dégagées.

 

Dans ma tête, tout s’accéléra. C’en était trop. L’odeur infâme et pourtant stimulante des collants… Le goût pisseux et merdeux de la culotte souillée… Les sensations de cette branlette, décuplée par les liens qui m’empêchaient d’y réagir… 10 secondes ? Même pas !

 

Je grognai et bavai avant un flash de lumière intense accompagnant une éjaculation phénoménale ! Une jouissance sans pareille qui dura… dura… Je sentais les pieds nus de la gitane qui pressaient ma bourse comme pour en extraire le jus… Les orteils de la grande garce qui tiraient la peau de mon prépuce en arrière, totalement, douloureusement… J’entendais leurs ricanements…

 

Et puis, le vide dans ma tête autant que dans mes testicules. Quand la dernière giclée ruissela sur mon sexe, elles cessèrent leur ignoble caresse.

 

Je me sentis alors pris d’un désespoir sans nom doublé d’un immense dégoût… De moi, d’elles, de ce qui m’arrivait. Elles se levèrent et je perçus une affirmation dans le timbre rauque de Nadia :

 

_ Un vrai lapin !

 

_ On va corriger ça… Viens…  

 

Maria entraîna sa copine derrière elle. La minute suivante, je me retrouvai seul dans ce grenier minable et trop chaud, toujours ligoté contre le lit, les épouvantables odeurs de sueur vinaigrée dans les narines… Les saveurs intimes les plus sales dans la bouche… Le torse recouvert de mon propre sperme…

 

Un long sanglot mourut dans ma gorge juste avant que je ne sombre dans une sorte de demi-sommeil cauchemardesque : elles n’allaient pas me libérer, j’en fus persuadé.  

 

Elles m’avaient réveillé par des gifles. M’étais-je endormi ou évanoui à un moment ?

 

Certainement… Car j’avais repris conscience, certes toujours nu mais détaché. Enfin, pas exactement. Je portais une sorte de collier autour du cou, relié à une chaîne longue de trois mètres solidement arrimée à un anneau énorme lui-même fixé au sol.

 

_ Maintenant, t’es le clébard de la maison ! avait décrété Nadia, son plus ignoble sourire collé à ses lèvres si pleines et ourlées.

 

Je n’avais pas répondu immédiatement. Par l’unique fenêtre de cet endroit, j'avais vu que la nuit était tombée. Je n’avais aucun souvenir d’avoir été détaché. Par contre, la chaîne qui me retenait m’empêcherait d’atteindre la trappe… ou cette fenêtre… Je serai contraint de rester dans un demi-cercle plutôt restreint, avec le vieux lit au centre de mon « nouvel univers ». Une soif intense me tenaillait. Sans doute à cause de cette culotte malpropre en coton que j’avais dû garder en bouche trop longtemps.

 

Les deux garces s’étaient rhabillées partiellement. Juste leurs robes défraîchies et de vieilles pantoufles aux pieds. Leurs sous-vêtements reposaient dans une des bassines en métal.

 

_ Je ne suis pas un chien ! finis-je par affirmer.

 

_ Mais si ! clama la gitane. T’es Cricri, notre clebs !… Et tu vas nous rapporter du pognon !

 

Je fronçai les sourcils. Ainsi, elles n’avaient pas eu seulement l’intention de se venger de mon intervention chez le droguiste…

 

_ Comment ça ?

 

_ Tu verras bien, reprit Nadia. En attendant, on va devoir te dresser !

 

J’avais repris un peu de mes esprits. Une colère sourde se couplait à une peur bien compréhensible. Maintenant que j’avais joui, je ne voyais plus les choses aussi « naïvement » qu’avant. Pourtant, enchaîné comme je l’étais, face à ces deux filles capables de beaucoup de choses, j’avais parfaitement conscience que je devrai me montrer très prudent.

 

_ Vous ne pourrez pas me garder ici…

 

_ Pourquoi pas ? Pour l’instant, personne sait que tu es là… Et personne viendra t’y chercher !

 

_ On va s’inquiéter pour moi !

 

_ Ah ouais ? fit Maria. Qui ça ? Tes vieux ? Tes copains ? Et alors ? On s’en fout ! Dans quelques jours, tout le monde croira que t’es parti pour la ville…

 

Une boule d’angoisse me comprima la poitrine tout d’un coup. Je n’avais pas tous les éléments… j’en découvrais sans cesse d’autres… Et la certitude que toute cette histoire dépassait le cadre de la petite vengeance mesquine se raviva en moi.

 

_ Comment ça ?

 

Je vis dans l’expression de joie cruelle des deux garces qu’elles ne plaisantaient pas.

 

Nadia écarta les bras, comme pour me signifier une évidence :

 

_ Quelqu’un, dans le village, va nous aider… Il va faire croire à tout le monde que tu t’es barré en ville… avec une fille, par exemple !

 

_ Pou… pourquoi quelqu’un ferait ça ?

   

_ Tu le sauras bien assez tôt, Cricri ! Mais en attendant qu’on puisse gagner du fric avec toi, faut d’abord qu’on te dresse et qu’on règle deux ou trois trucs. Et pour commencer, on va s’occuper de ton problème d’éjaculation précoce, petit lapin !

 

Je me sentis piquer un fard et reculai d’un pas, d’instinct.

 

_ Je… Je suis pas un… un…

 

_ Un lapin ? m’aida Maria. Mais si ! T’as giclé ta sauce en moins de deux, tout à l’heure !

 

En te faisant branler par nos pieds crades… en reniflant nos collants et en suçant mon slip… On a toujours pensé que tu devais être un peu tordu mais là…

 

_ Non ! protestai-je. C’est faux ! C’est vous qui… qui… qui m’avez…

 

_ Qui m’avez quoi ? se moqua la gitane. Nous, on croit que t’es amoureux de l’une de nous… ou des deux… Et on veut bien te baiser ! T’es plutôt mignon, t’as une belle queue… Mais on veut pas d’un chien chien qui gicle dès qu’on lui fait un truc un peu hard… Nous, ce qu’on veut,c’est que tu restes dur aussi longtemps qu’on veut, sans juter !

 

Ses paroles m’ébranlèrent un peu plus. Si je comprenais bien, elles voulaient faire de moi une sorte de jouet sexuel vivant. Une idée que me perturba au plus haut point. Je détestais ces deux garces. Je les haïssais même ! Mais une sombre part de moi avait envie de sexe avec elles.

 

Tellement que je sentis ma verge molle me picoter.

 

_ File-lui la tasse, Maria ! J’ai envie, moi !

 

La mignonne petite gitane récupéra une vieille tasse que je n’avais pas remarqué sur l’unique table de ce grenier. Un liquide translucide, vaguement verdâtre, la remplissait presque… me rappelant au passage ma grande soif.

 

_ Tiens ! Bois ça…

 

Je pris ce qu’on me tendait, portait la chose à mes narines, reniflait. Une odeur médicamenteuse, assez désagréable.

 

_ Qu’est-ce que c’est ? Une tisane ?

 

_ Un genre, ouais… Tu bois et tu la fermes !

 

_ Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y a dedans ? C’est une drogue ? C’est ça ?

 

Malgré ma soif, je n’avais aucune envie de boire ce liquide inconnu qui n'augurait rien de bon. Maria dût le sentir, car elle consentit à m’expliquer :

 

_ C’est juste une tisane… Mais avec ça, tu banderas dur sans pouvoir gicler pendant une dizaine d’heures.

 

Avais-je bien entendu ? Cette… « potion » aurait le pouvoir de bloquer une éjaculation et de maintenir une érection ?… À nouveau, le mot de « drogue » me revint, sachant que certaines d’entre elles avaient des propriétés similaires.

 

_ Et ça t’empêchera aussi de tomber malade, crut bon d’ajouter Nadia.

 

Loin d’apaiser mes craintes, cela ne fit que les amplifier. Pourquoi pensaient-elles que je risquais d’être malade ? Je voyais difficilement ce qu’elles pourraient me faire de pire que l’humiliation subie quelques heures plus tôt.

 

_ Où est-ce que vous avez trouvé ça ?

 

_ C’est une recette de ma grand-mère ! déclara Maria. On se la transmet de génération en génération… Bois !

 

Formule toute faite et bien pratique mais qui ne m’expliquait rien. Je secouai la tête.

 

_ Non… Je ne veux pas…

 

Les garces se consultèrent et poussèrent un soupir de contrariété. Nadia tourna alors les talons et alla fouiller dans une petite malle, hors d’atteinte pour moi, qui se trouvait sous une mansarde à l’autre bout du grenier. Elle revint rapidement avec une sorte de bâton assez court et souple.

 

SWWWIIIIIISH CLACK !

 

 

 

Lorsqu’elle le claqua sur la table, le bruit résonna avec violence, me faisant sursauter.

 

 

Tu préfères la manière forte, Cricri ? Avale ou je te le fais prendre en lavement ! Et je te jure que ce sera aussi efficace par un trou que par l’autre !  

_ Vous… Vous pouvez pas me demander ça !

 

  

SWWWIIIISH SLATCH ! AAAAOUUUUURGHHH !!!

_ On parie ?

 

La douleur sur ma cuisse, d’une intensité incroyable, rayonna dans ma jambe et jusqu’à mon aine. Les yeux stupéfiés, je contemplai sans y croire la marque rouge imprimée sur ma peau. Des larmes de douleur me vinrent malgré moi.

 

_ Mais tu es folle !

 

_ T’en veux un autre ?

 

Ses yeux verts de vipère me mettaient au défi, clairement. Mais cette souffrance, je ne voulais pas la connaître une nouvelle fois. Et elle me frapperait jusqu’à ce que je lui obéisse, j’en fus persuadé.

 

_ Non !

 

_ Alors tu avales, sale chien ! cria la gitane. Tout ! Jusqu’à la dernière goutte !

 

Nadia leva encore son espèce de canne maudite et je portai immédiatement la tasse à mes lèvres. Sans chercher à réfléchir, je bus le contenu, peu surpris par l’amertume extrême et la tiédeur de ce liquide.

 

Une fois vide, je rendis la tasse démodée, attentif au moindre changement dans mon organisme. Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre… fus presque déçu de ne rien ressentir de particulier.

 

_ Biiieeeen ! fit la gitane, les mains sur les hanches. On va pouvoir s’amuser pour de bon !

 

_ Il est temps ! souffla sa copine. J’ai la chatte qui me démange depuis qu’on l’a fait juter…

 

Allez, toi ! À genoux !

 

Les choses s’enchaînaient depuis mon enlèvement programmé… J’avais été l'objet d’une « punition » particulièrement odieuse et avait un moment pensé que cela s’arrêterait là. Désormais, la réalité me sautait au visage sans prendre de gants : j’allai demeurer dans ce grenier pour un temps indéterminé. Jusqu’à ce que je parvienne à m’enfuir ou que quelqu’un me retrouve. Pour l’heure, Nadia tenant toujours son terrible bout de bois souple, je devrais obéir.  

Le ventre noué de colère, je m’agenouillai donc face à elles. Moi qui avais toujours pensé que cette posture, tellement galvaudée, n’avait rien de véritablement humiliant, j’en fus pour mes frais. Nu et retenu par un collier à une chaîne, à la manière d’un chien, je voyais mes bourreaux féminins d’une position basse… Leurs regards arrogants et leurs sourires vaniteux me touchèrent d’autant plus. 

Elles relevèrent leurs robes pour me montrer, une nouvelle fois, leurs buissons de poils sombres. J’avais déjà bien vu celui de Nadia, je pus mieux détailler le pubis de la gitane. Tout aussi velu, les poils noirs contrastaient moins sur sa peau bien plus brune. Maria avait également un peu de ventre, contrairement à sa copine. Le nombril très profond se révéla sale.

 

Une odeur de fruits de mer et de pissotière se laissa flairer. Ces filles devaient vraiment très peu se laver ! Je l’avais déjà deviné à l’état de leurs sous-vêtements… Malgré cela, ma verge tressaillit.

 

_ On dirait que nos poilus lui plaisent, souffla Maria.

 

_ Je te dis qu’il est amoureux de nous ! pouffa sa copine. Et je te parie qu’en moins d’une minute, il va bander dur comme un âne !

 

_ On lui montre tout ?

 

_ Mmmmmm… Ouiiiii !!

Par aplaisirs
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 14:23

chap 5

 

 

Devant mes yeux éberlués, elles se retournèrent et se penchèrent en avant, m’exhibant sans aucune pudeur leurs fesses, les ouvrant et, les cuisses écartées, me donnèrent une vue sans pareille sur leurs sexes !

 

  L’odeur que j’avais à peine perçue devint brusquement bien plus intense, plus nuancée. Des relents tièdes de mer, de coquillage… les notes amères et poivrées de leurs anus… des pointes acidulées de sueur et d’urine…

 

La vision s’allia aux parfums puissants, m’hypnotisant littéralement. Je n’avais jamais vu de vraies vulves de ma vie et voilà que j’en découvrais deux de la plus incroyable et obscène des manières. Malgré ma honte et ma colère, je dévorai des yeux ce tableau de chairs et de stupre. Les cuisses fines et blanches de Nadia, son cul d’une pâleur stupéfiante, ouvert sur une raie assez peu poilue, avec un anus mauve qui palpitait, gras et luisant… Et dessous, une longue balafre pourpre, brillante, qui me souriait de travers…

 

À côté, le cul énorme de Maria, joufflu et bronzé… Une vallée très profonde avec plus de poils souillés… Et une chatte moins longue, baveuse, entrouverte sur des chairs rouges. Je voyais nettement des dentelles brunâtres qui dépassaient, humides…

 

Elles se trémoussèrent devant mon visage, s’approchant et m’offrant leur intimité en riant comme deux folles. Je demeurai bouche bée, la verge dure, avec une envie folle de me toucher, de me caresser. Mais je n’étais pas devant un magazine porno… Et ces filles n’étaient pas là pour me satisfaire !

 

_ Le spectacle te plaît, Cricri ?

 

Comme je ne répondis pas à la question de la grande, trop concentré sur ce que je voyais, j’aperçus le visage de Maria qui se retournait… Ses yeux qui descendaient sur mon sexe.

 

_ Je crois que t’avais raison, Nadia ! Ce petit merdeux bande de nouveau !

 

Sa copine tourna également la tête et un sourire gourmand lui vint quand elle contempla mon membre.

 

_ J’en étais sûre ! Merde, j’en peux plus ! Faut que je le baise !

 

_ On le met sur le pieu ?

 

_ Ouais !

 

Encore étourdi par ce que je venais de voir, je n’opposai aucune résistance quand elles me forcèrent à me relever, me poussèrent sur le lit, m’obligèrent à m’y allonger sur le dos. Les ressorts grincèrent sous nos poids respectifs.

 

_ Reste couché ! ordonna Maria.

 

Avec une hâte qui prouvait leur excitation, les deux filles firent passer leurs robes sales et usées par-dessus leurs têtes… se retrouvèrent aussi nues que je l’étais !

 

Ma verge acheva de se dresser entièrement, décalottée, face à la vision de ces deux corps si différents et pourtant tellement excitants malgré la haine et la colère que j’éprouvais toujours.

 

Nadia, fine, blanche, de petits seins presque pointus, deux citrons avec deux framboises au bout, encore plus grosses qu’auparavant. Un ventre plat et un nombril fermé. Et à côté, Maria, plus petite, bronzée, potelée de partout, avec une poitrine bien plus grosse… Deux énormes melons cuivrés avec des mamelons d’un rose très sombre, larges comme des soucoupes…

 

Jamais je n’aurai pensé être aussi émoustillé par la vue des corps dénudés de ces deux garces. Était-ce à cause de cette tisane qu’elles m’avaient fait boire ?

 

_ Je m’en sers la première ! décréta la grande en grimpant sur la couche qui couina horriblement.

 

_ Eh ! C’est pas juste !

 

_ T’as qu’à te faire brouter en attendant ! Ça te changera de ma langue !

 

Nadia semblait déterminée et enjamba mon corps, se plaçant en me toisant de sa haute position. Cet angle me fit apercevoir la longue fente sous un nouveau jour. Le sommet s’évasait sur ce que je supposais être le clitoris… Un ergot nacré, assez gros, qui dépassait des crénelures rouges… Et ces deux seins qui semblaient si fermes, avec leurs tétons durs. J’eus envie de les toucher ! De les caresser ! C’était comme un instinct primaire.

 

 

 

 

Elle s’accroupit rapidement, saisit mon sexe entre ses doigts. Je me raidis, surpris par les frissons de volupté intenses que ce simple contact déclenchait en moi. Et avant que je comprenne, mon gland sensible frôlait sa vulve chaude.

 

_ Je vais le dépuceler, ce petit merdeux ! clama-t-elle à son amie. Tu te rends compte ?

 

Hahaha !

 

Bouche bée, je sentis ma verge s’enfoncer dans un fourreau de chair, brûlant et humide. Une sensation extraordinaire, comme je n’en avais jamais ressentie. Cet étau vivant me serrait délicieusement, de partout en même temps ! Il me prit tout entier, jusqu’au pubis, déclenchant une expression d’extase sur le visage d’ordinaire si vaniteux de Nadia.

 

Poussant sur ses cuisses, elle remonta jusqu’à presque me faire sortir… redescendit à nouveau. Ma verge pulsait par à-coups furieux. C’était sublime, divin ! Je ne cessais de me répéter que ça y était… Je n’étais plus puceau ! Même dans ces conditions, je n’étais plus vierge !

 

_ Je… Je vais pas tenir très longtemps…

 

Nadia montait et descendait lentement, régulièrement, avec un bonheur visible, sur mon membre. Je sentais que ma jouissance viendrait rapidement et j’avais cru bon de la prévenir.

 

Mais, loin de s’en inquiéter, elle ricana juste :

 

_ Je crois pas, Cricri… Tu vas même tenir très… très longtemps !

 

Maria grimpa à son tour sur le vieux lit qui protesta dans des grincements métalliques à n’en plus finir. Mais elle se plaça au-dessus de mon visage.

 

_ Tourne-toi vers moi ! lui suggéra la grande. Comme ça, tu lui colleras ton trou du cul sur le nez et tu pourras m’embrasser en même temps !

 

_ Ouiiiiii ! T’as raison !

 

Demi-tour de la gitane qui avait placé ses pieds nus de part et d’autre de ma nuque. Quand je la vis s’accroupir très lentement, avec sa vulve brillante qui baillait, sa raie sale qui s’évasait et s’approchait de moi, je connus un moment de panique. La tension sexuelle, bien trop forte, allait me faire éjaculer ! Surtout que Nadia poursuivait sa cavalcade.

 

_ Je rigole pas ! lançai-je d’une voix rauque. Ça vient, je vous dis ! Ça vient !

 

Mais je n’eus que leurs rires moqueurs en réponse. Sous mes yeux écarquillés, le fessier énorme et bronzé qui s’ouvrait toujours davantage. La vision de son anus souillé, ses poils maculés de matières fécales… de sa vulve baveuse qui s’épanouissait avec des allures de mollusque. Et les odeurs ! Terriblement intimes, puissantes, enivrantes.  

Je sentis mes testicules remonter dans ma bourse… j'allais jouir !… Mais… Que se passait-il ? La pression de l’éjaculation ne venait pas… Ni l’éblouissement qui accompagnait généralement avec délice le moment de la jouissance… Ma verge, pour dure qu’elle demeura, connut une dizaine de secondes d’insensibilité ! Enfin, je le vécus comme tel. Et voilà que le plaisir remontait, comme au début, quand elles s’étaient exhibées à moi !

 

_ Alors ? me nargua Nadia. J’attends ton foutre, Cricri…

 

Sa voix, transformée par le plaisir, m’annonçait presque que c’était finalement elle qui se trouvait au bord de l’orgasme.

 

_ Ça vient pas ? poursuivit-elle. Pauvre petit toutou… Il n’a pas le droit de faire sa petite giclette !

 

_ Ça veut dire qu’il va rester à moitié puceau, tu crois ? s’exclama alors Maria, dont les fesses demeuraient suspendues ouvertes à moins de dix centimètres de mon visage. Hahaha !

 

_ Faut croire que oui !

 

La gorge nouée autant par le spectacle obscène et les odeurs de l’intimité malpropre de la gitane que par les paroles singulières de mes deux bourreaux, je commençais à réaliser qu’elles ne m’avaient pas menti. Et, sur l’instant, je ne fus pas certain de trouver ça si… dérangeant.

 

J’allais pouvoir « baiser » aussi longtemps qu’il le faudrait ? À la bonne heure ! Quel homme ne rêverait pas d’un tel pouvoir ! Surtout que la chevauchée de Nadia se poursuivait avec de plus en plus d’entrain. Et que mon sexe y prenait sa part de bonheur !

Par aplaisirs
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 14:39

chap 6

 

 

_ Le nez dans mon trou du cul, Cricri ! Renifle ma merde !

 

Brusquement tiré de mes pensées, je fus pratiquement plongé dans le noir. Maria venait de littéralement s’asseoir sur mon visage, s’arrangeant pour que mon nez frotte son anus écoeurant. La puanteur me prit à la gorge plus violemment encore, agressive et amère. Mais une puanteur porteuse de notes qui m’excitèrent malgré moi.

 

_ Sors la langue ! Lèche-moi la chatte en même temps !

 

Je le fis, sans réfléchir, soumis à la loi de l’excitation sexuelle. Ma langue fureta, curieuse, sur les lèvres gonflées et détrempées. À l’aveuglette, bien sûr. Je ne voyais pas ce que je faisais et mes mains caressèrent la peau étonnamment douce de ses hanches.

 

_ Mieux que ça !

_ AÏÏÏEEEE !!

 

Une douleur vive sur la poitrine. La gitane venait de me pincer un téton. J’agitai ma langue avec plus de conviction tandis qu’elle se déhanchait pour s’offrir à mon hommage. Je plongeai dans un véritable four brûlant et glaireux, goûtant des saveurs intenses et inédites. C’était comme de lécher une huître chaude sur laquelle on aurait uriné ! Une image démente, mais ce fut celle qui me vint naturellement !

 

À nouveau, sous le coup d’une excitation terrible, je crus que j’allai jouir. Mon coeur se mit à battre plus violemment, mes testicules remontèrent à nouveau… et une fois encore, je connus ce déstabilisant moment d’insensibilité totale, qui ne dura guère plus d’une douzaine de secondes. Et je retrouvai des sensations proches d’un début de préliminaires.

 

Les gémissements de Nadia se firent de plus en plus intenses et grimpèrent dans les aigus. Maria, elle, servait de moi, de ma langue, se démenait sur mon visage, écrasait mon nez, me contraignait à la lécher, inondait ma bouche de sécrétions grasses et très goûteuses.

 

À un moment, je les entendis qui s’embrassaient à pleine bouche. Je ne pus retenir mes mains, qui grimpèrent vers la poitrine invisible. Je n’y croyais pas, en réalité, pensant que la gitane allait me l’interdire. Au contraire, elle s’offrit à mes doigts.

 

_ Il devient entreprenant, notre petit toutou !

 

Ce fut sa seule remarque tandis que je tâtais puis pétrissais les deux globes de chair tendre et ferme. C’était totalement fou ! Je ne voyais quasiment rien, donnant de grands coups de langue sans trop savoir ce que je léchais… buvais des sécrétions salées en reniflant des odeurs infâmes… pelotais des nichons lourds et jouais avec des tétons enflés… Tout cela en étant chevauché par une Nadia de plus en plus déchaînée.

 

Je ne parvenais plus à réfléchir, me laissais emporter par un torrent de sensations charnelles qui ne se calmait que pour quelques secondes quand l’excitation devenait trop forte, avant de repartir de plus belle.

 

À un moment, les cris d’extase de la grande brune aux yeux de chatte devinrent hystériques et ses coups de reins si brutaux qu’elle me fit vraiment mal. Le lit grinçait et gémissait, les grands ressorts soumis à des contraintes folles.

 

_ Oui ! OUI ! ENCORE ! C’EST LÀ ! MMMMMMMHHH !! OUI ! OUUUUUIIIIII !!!

 

 

La tempête se calma. Encore quelques chevauchements sur mon sexe raide et Nadia se dégagea… L’instant suivant, Maria me libéra de la prison de son fessier énorme. J’étais essoufflé, le coeur battant, les testicules vaguement douloureux.

 

_ À mon tour ! lança la gitane, tandis que sa copine descendait du lit.

 

Et voilà la jolie petite brune potelée qui guidait ma verge dans le vagin que je venais de lécher abondamment. Je la vis entamer la même danse endiablée, ses lourds nichons bruns se balançant voluptueusement devant moi.

 

_ T’as compris ce qu’on attend de toi, maintenant ?

 

Je me tournai vers Nadia, qui renfilait sa robe usée. Elle transpirait et des mèches noires collaient sur son front ruisselant. Je fronçai les sourcils, essayant de décortiquer sa question.

Elle eut soudain un large sourire moqueur.

 

 

Hahaha ! Si tu voyais ta tête ! T’es rouge de partout, t’as de la merde sur le nez et la bouche toute enflée… Et pleine de mouille !

 

Maria pouffa à son tour, accélérant le rythme, m’amenant une fois encore (la cinq ou sixième fois) à l’orée d’une jouissance. Et je voulais jouir, à chaque fois un peu plus fort ! Mais l’éjaculation ne venait pas ! Mes testicules remontaient, me faisant mal… Puis redescendaient  dans ma bourse de peau… et l’excitation revenait, en même temps qu’une frustration grandissante.

 

_ C’est… C’est horrible ! parvins-je à dire.

 

Mon expression, loin de les apitoyer, les fit rire à nouveau avec cette joie cruelle dont elles semblaient avoir le secret. Nadia passa une langue gourmande sur ses lèvres si pleines.

 

_ Ouais, on sait… Hahaha ! On te l’a dit : tu vas rester ici… Dans ce grenier… Tu vas nous servir de joujou sexuel ! On te baisera comme on voudra ! Tu nous lécheras partout ! Tu feras tout ce qu’on te dira de faire ! Et si tu es sage et obéissant, on te donnera à manger et à boire…

 

_ Mais si tu fais ta forte tête, poursuivit la gitane qui se caressait maintenant les seins en me « baisant », t’auras droit à des coups de canne et rien à bouffer !

 

Une boule d’angoisse venait de se former dans ma gorge. Mon coeur battait maintenant fort depuis un bon moment, sans ralentir. Je venais de comprendre quelle serait ma vie, désormais, si je ne trouvais pas un moyen de me sortir de ce guêpier. Elles comptaient me retenir prisonnier dans ce lieu et se servir de moi comme d’une poupée gonflable vivante. À cause de leur satané drogue, je ne pourrais pas éjaculer et resterais dur pour leur unique plaisir… tandis que la frustration finirait peut-être par me rendre fou ! Ce que j'avais d’abord considéré comme un cadeau inestimable se révélait être une malédiction ! C’était comme de mourir de faim, de manger sans cesse et de ne jamais être rassasié !

Par aplaisirs
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 18:24

chap 7

 

 

Nadia ramena une chaise près du lit et s’y installa, se penchant pour me contempler tandis que sa copine prenait son pied. Je ne vis que de la détermination dans ses prunelles vertes… ainsi qu’un plaisir sadique face à ma peur.

 

_ Bien sûr, reprit-elle d’une voix sucrée, tu feras encore d’autres choses… On va beaucoup s’amuser, tu verras ! Et puis, tu vas t’occuper de ta nouvelle niche… La nettoyer et la garder propre… Tu feras aussi notre linge…

 

_ On a pas de machine à laver, poursuivit Maria en se trémoussant, aspirant ma verge au fond de son vagin. Tu feras tout à la main, ici ! Et pour nos culottes et nos collants, tu devras faire un prélavage avec ta langue ! Mmmmmmm !

 

 

Nadia eut un drôle de sourire en acquiesçant. Elle passa une main dans mes cheveux et murmura :

_ T’as pas besoin qu’on te fasse un dessin, hein ? Faudra lécher là où c’est trop sale… Et une fois que tu seras bien dressé, faudra aussi que tu commences à nous rapporter du pognon…

 

_ Co… comment ça ?

 

_ Ah ! Surprise ! Tu verras ça en temps voulu, Cricri !

 

_ Mmmmm ! Oui ! Ça vient ! Oh, putain ! C’est vraiment génial d’avoir une vraie queue dure qui peut pas gicler ! Ôôôôôhhhhmmm !!

 

 

J’eus l’impression d’un déjà-vu… et la sensation cauchemardesque que ce déjà-vu allait devenir récurrent ! Maria accéléra à son tour tandis qu’une fatigue languissante tétanisait mes muscles. Je ne faisais pourtant pas grand-chose. Je subissais avant tout. La jolie gitane potelée se déchaîna elle aussi, sans honte ni pudeur, pétrissant sa lourde poitrine, se mordant la lèvre, fermant les yeux et gémissant comme une damnée en extase.

 

_ Oui ! HOOOOOOO ! OUUUUIIIII !! MMMMHHHHH !!!

Ma verge était pompée et j’y trouvais un plaisir fort… Mais un plaisir qui serait névitablement tronqué par une éjaculation bloquée. J’en pris pleinement conscience à cet instant et la peur me fit me poser mille questions : est-ce que c’était définitif ? Est-ce que je pourrai débander ? Est-ce que mon coeur supporterait longtemps ce traitement ?

Maria se raidit soudain puis s’affala sur moi. J’aurai dû jouir, là encore… La frustration venait de monter d’un cran. Pourtant, alors que j’allai crier ma colère et ma rancoeur, la gitane me déposa un baiser au coin des lèvres, surprenant de tendresse !

 

_ C’était bon, souffla-t-elle avant de se dégager. Merci, Cricri !

 

J’en restai muet de stupéfaction. Elle avait eu l’air sincère. Je la regardai remettre sa robe. Elles se dirigèrent ensuite vers la trappe. Nadia se retourna dans ma direction et dit avant de disparaître dans le trou :

 

_ Tu as bien mérité ta gamelle ! On te l’amène tout à l’heure !

 

Un chien. Voilà comment elles me considéraient. Un chien qu’elles allaient dresser…

 

Une quarantaine de jours, à peu près. J’avais cessé le compte exact à 18, le soir où j'avais perdu tout espoir qu’on vienne me chercher. Une quarantaine de jours à vivre nu, dans ce grenier, attaché à une corde comme un clébard à sa niche. Une quarantaine de jours et autant de nuits passées sur ce vieux lit sale et grinçant sur lequel les deux garces me forçaient à les baiser, à leur manière… pour leur plaisir…

 

J’avais eu le temps de découvrir un certain nombre de choses, d’en comprendre d’autres. Tout d’abord concernant cette mixture que j’étais obligé de boire très régulièrement. Les effets duraient une dizaine d’heures avant de s’estomper. Elle empêchait principalement l’éjaculation. Je mettais plus de temps à ramollir lorsque je bandais et qu’elles en avaient fini avec  moi. J’avais également eu la preuve de son efficacité sur la santé puisque je n’étais pas encore tombé malade, malgré les épreuves et les souillures endurées.

 

Je n’avais pu (ou plutôt eu le droit) de jouir que deux fois depuis mon arrivée.

Maintenu sur le lit, masturbé et caressé alors que je n’avais pas pris la mixture… Deux éjaculations monstrueuses, qui m’avaient fait m’évanouir. Sinon, je devais avaler leur satané drogue matin et soir. Lorsque je refusais, les coups de canne pleuvaient.

 

Elles me nourrissaient, oui… Des restes de leurs repas pris dans leur cuisine. Le tout dans une écuelle pour chien… sans couverts. Je devais manger avec les doigts, boire dans une autre écuelle. Et ça, c’était quand elles étaient contentes de moi. Lorsque je désobéissais ou que je rechignais, j’étais simplement privé de nourriture et recevais des coups.

 

Je n’avais trouvé aucun moyen de fuir et m’étais résigné à mon triste sort. Le collier ne s’ouvrait pas… La corde était trop épaisse pour espérer la trancher sans couteau… L’anneau  trop bien riveté au sol. Je ne pouvais atteindre la fenêtre ni aucun objet susceptible de m’aider.

 

Mon quotidien se résumait à des tâches avilissantes, des séances de baise, du rangement. Elles exigeaient que l’endroit fut toujours propre… Elles m’imposaient une nudité permanente, peu ennuyeuse en fin de compte à cause de la chaleur constante qui régnait ici. J’avais pour mission de laver leurs vêtements à l’aide de deux bassines remplies d’eau et d’un gros savon de Marseille. La première bassine pour le lavage, la seconde pour le rinçage… L’étendage, elles s’en occupaient. Mais elles n’avaient pas plaisanté concernant leurs sous-vêtements sales

 

 je devais lécher les renforts des culottes souillées, sucer les parties les plus immondes de leurs collants. C’était là un de leurs grands plaisirs. De même, elles venaient régulièrement me donner à « décrasser » les parties les plus malpropres de leurs corps. Ma langue passait donc régulièrement sous leurs aisselles, entre leurs orteils, dans leur vagin et leur anus. Elles adoraient les longues séances d’humiliation avant de passer au sexe.

 

Comme je ne pouvais éjaculer et qu’elles savaient comment me faire rester dur, j'étais véritablement devenu leur jouet. Mais que je les prenne en levrette, en missionnaire ou en brouette, que je passe une heure sur une séance de broutage de minou ou de feuille de rose, qu’elles me fassent l’amour en même temps ou l’une après l’autre, j’étais inévitablement le dindon de la farce. Rapidement, j’avais compris que tout cela m’épuiserait physiquement autant que moralement.

 

Mon coeur cognait dur pendant parfois trois ou quatre heures. Bien que je fus jeune, je savais que cela aurait des conséquences, tôt ou tard. Quelque chose me faisait pourtant tenir. Une chose que je refusais de m’avouer mais qui me hantait sans cesse. Malgré leur cruauté, leur marginalité et leur vice, Nadia et Maria occupaient mes pensées en permanence. J’aimais leurs corps, j’aimais ce qu’elles véhiculaient…Une haine tenace brûlait dans mon esprit, parce qu’elles me retenaient contré mon gré, m’infligeaient des humiliations et des sévices… Mon coeur, pourtant, semblait vouloir leur donner raison : j’étais, d’une certaine manière, amoureux d’elles. Mais un amoureux qui ne pourrait pas avouer ses sentiments, en aucune manière !

 

Ce matin-là, j'étais allongé au pied du lit… léchant les pieds pâles de Nadia, embrassant ses longs orteils, avalant la poussière incrustée dans ses talons. Maria jouait négligemment avec ma verge tendue, installée entre mes cuisses écartées. Elles n’avaient plus besoin de m’attacher pour ce genre de choses, ni de me menacer. J’obéissais presque avec plaisir ! Peut-être était-ce dû à l’abus de cette drogue qu’elles m’obligeaient à boire…

Par aplaisirs
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 18:28

chap 8

 

 

BOM ! BOM ! BOM !

Des coups à la porte d’entrée. Une visite ! C’était la première fois que cela arrivait depuis que j’étais retenu dans ce grenier. Curieusement, un sentiment de peur et d’affolement me gagna.

_ Déjà ? grommela Nadia en retirant ses pieds de mon visage. Il est pressé, on dirait !

 

Maria se leva et commença à se diriger vers la trappe.

_ Je vais lui ouvrir… Toi, tu t’occupes d’installer Cricri !

Depuis des jours, je m’étais enferré dans une routine rassurante. J’obéissais à mes deux bourreaux et je recevais à manger. Je m’occupais de mon coin de grenier, de mes petites

tâches ingrates et j’étais baisé régulièrement. Voilà brusquement que ce train-train déraillait.

 

_ Qu… Qu’est-ce qui se passe ? Qui c’est ?

_ Chuuuuut ! Tu le sauras bien assez tôt ! Lève-toi et couche-toi sur le plumard !

 

Nadia ne semblait pas surprise de cette visite, plutôt de l’heure à laquelle elle survenait. J’avais pris l’habitude d’accepter immédiatement le moindre des ordres que me donnaient l’une ou l’autre. “Donne ta queue !” “Lèche ça !” “Debout !” “À quatre pattes !” “Montre ton cul !” Je ne réfléchissais même plus, essayant simplement de ne pas non-jouir trop vite car cela me donnait finalement des pointes cardiaques à répétition.

 

Je m’allongeai sur ma couche, vaguement conscient que Maria avait changé le drap la veille au soir pour la toute première fois. Y avait-il un lien ?

 

_ Passe tes mains entre les barreaux !

Je fis ce que me demandais la grande, étonné de constater qu’elle liait mes poignets aux barres supérieures du lit avec de la corde. Deux noeuds exécutés rapidement.

_ Qu… Qu’est-ce que tu fais ?

_ Tu le vois bien : je t’attache !

 

Fronçant les sourcils, je cherchai à comprendre. Voilà plusieurs jours que les liens n’étaient plus du tout nécessaires.

 

_ Ce n’est plus la peine, tu sais…

_ C’est pas pour nous, cette fois ! Écarte les jambes !

 

Elle contourna le lit et lia un autre bout de corde à l’une de mes chevilles, qu’elle relia au montant métallique du bas.

_ C’est pour qui, alors ?

 

Je n’avais plus qu’une jambe de libre quand elle concéda à me répondre avec un sourire ironique :

_ On t’avait dis que tu allais nous rapporter du fric… Ce matin, tu reçois ton premier client ! Hahaha !

 

Ses doigts agiles jouèrent autour de mon autre cheville tandis que je tentais de coller une explication cohérente sur les paroles entendues. Je n’y parvins pas avant de me retrouver attaché en croix, totalement nu, sur mon lit. Et d’une manière plutôt restrictive !

 

_ Mon premier client ? Mais… pour faire quoi ?

 

Nadia explosa littéralement de rire, me contemplant comme si elle ne croyait pas ce qu’elle entendait.

 

_ Hahaha ! T’es vraiment idiot ou quoi ? À ton avis, ligoté à poil comme tu l’es, il vient pour quoi ?

 

Les yeux ronds, je compris alors. L’évidence gifla même mon esprit…immédiatement suivi par un sentiment d’horreur :

_ C… C’est un homme ? Mais… Non ! Je ne veux pas !

_ Personne te demande ton avis ! Hahaha ! En tout cas, il est pressé de te voir… ou de t’avoir, plutôt ! Il nous embête depuis presque un mois… et tous les jours !

 

Le sentiment ignoble d’une trahison me noua la gorge. Je n’avais jamais envisagé que leur moyen de gagner de l’argent à travers moi serait, en quelque sorte, de me prostituer. J’avais pensé que je ne leur servirai que de jouet sexuel à elles… et y avait trouvé une sorte de contentement inexplicable.

 

Un coup d’oeil à la fenêtre lointaine m’informa que le brouillard était plus dense que de coutume. Un mauvais augure ?

 

_ Bon, on va lui faire bonne impression, t’es d’accord, Cricri ?

 

_ Non !

La grande brune aux yeux de vipère partit dans son rire joyeux si naturel dès qu’il s’agissait de me dégrader. Puis, s’installant à côté de moi, elle commença à me masturber pour relancer une érection déclinante. Je débandais beaucoup moins vite à cause de la drogue mais si je ne me touchais pas et ne pensais à rien, en une dizaine de minutes je pouvais être tout à fait mou.

 

_ Arrête !

_ Depuis quand tu donnes les ordres, Cricri ? Tu veux que je te la torde ?

 

J’étais tellement en colère que je faillis répondre quelque chose qui m’aurait coûté une vive douleur… inutilement ! Mais je me mordis la langue en entendant un bruit de conversation et  les craquements familiers de l’échelle qui servait à grimper dans ce grenier. Cette voix d’homme… je la connaissais !

Lorsque la tête apparut, front haut et dégarni, couronne de cheveux gris, lunettes rondes, je crus avoir un arrêt cardiaque ! Monsieur Piemare… le voisin de mes parents et l’un des adjoints du maire ! Un type d’une cinquantaine d’années, qui m’avait toujours regardé d’une drôle de manière ! Un type que j'avais soigneusement évité à chaque fois que je l’avais pu !

 

Maria le suivait et je n’avais pas pu articuler un son quand ils se retrouvèrent devant moi, les filles ricanant sournoisement et l’homme en costume me dévorant des yeux, les prunelles rondes comme des billes.

Par aplaisirs
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 18:35

chap 9

 

 

_ Ça vous convient, m’sieur Gilbert ?

_ Oh oui ! C’est vraiment excellent, Maria ! Je n’avais pas imaginé mieux !

_ OK ! reprit Nadia. Vous le voulez pour combien ? Une heure ? Deux ? Plus ?

 

Elle me monnayait ! Comme si je n’étais qu’une prostituée et elle une sorte de mère maquerelle.

 

_ Je dirai que deux bonnes heures devraient suffire pour cette première rencontre ! Je veux juste bien faire connaissance avec lui ! Si vous saviez, depuis le temps que je rêve de l’avoir à  

disposition, comme ça, tout nu… et attaché !

_ Monsieur Piemare… Non !

 

Une supplique dans le vent. Il était venu pour cela, allait payer pour cela. Et je connus même le tarif :

_ Alors, c’est trois cents francs ! Payable d’avance et non remboursable !

 

Je n’arrivais toujours pas à le croire. Le type, plus âgé que mon père, notable soit disant  respectable du village, sortit un vieux portefeuille brun de la poche intérieure de sa veste de costume désuète… en tira trois billets craquants de cent francs… les tendit à Nadia qui s’en  empara avidement.

 

_ On vous laisse ! lança-t-elle alors avec une joie féroce devant mon air terrifié. Z'aurez qu’à descendre quand vous aurez terminé, m’sieur Gilbert !

_ Et nous l’abîmez pas, hein ? crut bon de préciser la gitane. On en a encore besoin !

 

Elles tournèrent talons et entreprirent de redescendre à l’étage du dessous. Ceci malgré mes implorations pitoyables :

 

_ Nadia ! Maria ! Non ! Revenez ! Ne me laissez pas !

 

Quand la trappe se referma, je sus que mon sort de la matinée était scellé. Elles m’avaient bel et bien loué à ce vieux pervers ! Il me fixait de ses yeux ronds, derrière ses lunettes.

Sa bouche molle luisait de salive. Il y avait cet éclat fiévreux dans ses prunelles, qui me fit comprendre qu’il prenait déjà son pied… dans sa tête ! Je tentai pourtant ma chance :

 

_ Monsieur Piemare ! Par pitié, détachez-moi et sortez-moi d’ici !

Il s’installa à côté de moi, sur le lit, faisant grincer les ressorts sous son poids  conséquent. Aucun son ne sortit de sa bouche. Cela m’encouragea.

 

_ Elles me retiennent prisonnier, monsieur Piemare ! Mes parents doivent s’inquiéter !

 

Aidez-moi !

_ Non, je te rassure, mon petit Christian… Tes parents ont bien reçu ta lettre… Ils sont très contents pour toi, tu sais…Je demeurai stupéfait. Il était au courant pour la lettre !

 

_ Comment est-ce que vous savez que…

 

_ Disons que j’ai aidé Nadia et Maria à préparer ce petit piège pour t’attraper… Tu sais, c’est grâce à moi qu’elles peuvent vivre gratuitement dans cette maison… Et c’est moi aussi qui ait fait procéder à l’isolation de ce grenier. Une excellente isolation phonique, d’ailleurs !

 

La gorge nouée, j’essayais de bien comprendre ce qu’il était en train de m’avouer sur un ton de conversation banale.

 

_ Vous… Vous les avez aidées à me piéger ? Mais… Pourquoi ? Je ne vous ai jamais rien fait!

 

_ Ce n’est pas entièrement vrai, Christian… Il faut que tu saches que j’adore jouer avec de beaux jeunes hommes. Tu me fais bander depuis un certain temps, tu sais ? Et maintenant que je suis assuré que mes petites protégées te tiennent bien en cage, on va se revoir souvent !

 

Ses yeux glissèrent sur mon corps dénudé, s’attardèrent sur ma verge tendue.

_ Belle queue, fit-il avec un soupir immonde. Je sais qu’elles te donnent de la tisane… Et que tu ne pourras pas jouir avant plusieurs heures. Je vais donc pouvoir pleinement profiter du temps que j’ai payé. Mais là aussi, il faut que je te rassure. À l’avenir, je ferai régulièrement tes vidanges…

 

Il parlait de sa voix traînante, presque baveuse ! Avec cet horrible timbre complaisant qui m’avait donné la chair de poule dès notre première rencontre ! Quand je vis sa main approcher lentement de mon sexe, je me débattis dans mes liens, si serrés que je ne pouvais quasiment pas bouger.

 

_ Ne me touchez pas ! Vous êtes fou !

 

Un sourire fat répondit à mon ordre tellement vain. Ses doigts boudinés pianotèrent de mon gland jusqu’à mes testicules, déclenchant des frissons d’horreur et des chatouilles.

 

_ Tu n’as pas bien compris, mon petit Christian… Tu es à moi pour deux heures… Je peux te faire tout ce que j’ai envie ! Et si tu n’es pas très obéissant quand je te demanderai certaines faveurs, sache que ce sera Nadia qui te punira. À coups de canne sur tes jolies couilles ! Alors réfléchis bien aux paroles que tu prononceras et aux actes que tu feras…

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