Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 14:23

chap 5

 

 

Devant mes yeux éberlués, elles se retournèrent et se penchèrent en avant, m’exhibant sans aucune pudeur leurs fesses, les ouvrant et, les cuisses écartées, me donnèrent une vue sans pareille sur leurs sexes !

 

  L’odeur que j’avais à peine perçue devint brusquement bien plus intense, plus nuancée. Des relents tièdes de mer, de coquillage… les notes amères et poivrées de leurs anus… des pointes acidulées de sueur et d’urine…

 

La vision s’allia aux parfums puissants, m’hypnotisant littéralement. Je n’avais jamais vu de vraies vulves de ma vie et voilà que j’en découvrais deux de la plus incroyable et obscène des manières. Malgré ma honte et ma colère, je dévorai des yeux ce tableau de chairs et de stupre. Les cuisses fines et blanches de Nadia, son cul d’une pâleur stupéfiante, ouvert sur une raie assez peu poilue, avec un anus mauve qui palpitait, gras et luisant… Et dessous, une longue balafre pourpre, brillante, qui me souriait de travers…

 

À côté, le cul énorme de Maria, joufflu et bronzé… Une vallée très profonde avec plus de poils souillés… Et une chatte moins longue, baveuse, entrouverte sur des chairs rouges. Je voyais nettement des dentelles brunâtres qui dépassaient, humides…

 

Elles se trémoussèrent devant mon visage, s’approchant et m’offrant leur intimité en riant comme deux folles. Je demeurai bouche bée, la verge dure, avec une envie folle de me toucher, de me caresser. Mais je n’étais pas devant un magazine porno… Et ces filles n’étaient pas là pour me satisfaire !

 

_ Le spectacle te plaît, Cricri ?

 

Comme je ne répondis pas à la question de la grande, trop concentré sur ce que je voyais, j’aperçus le visage de Maria qui se retournait… Ses yeux qui descendaient sur mon sexe.

 

_ Je crois que t’avais raison, Nadia ! Ce petit merdeux bande de nouveau !

 

Sa copine tourna également la tête et un sourire gourmand lui vint quand elle contempla mon membre.

 

_ J’en étais sûre ! Merde, j’en peux plus ! Faut que je le baise !

 

_ On le met sur le pieu ?

 

_ Ouais !

 

Encore étourdi par ce que je venais de voir, je n’opposai aucune résistance quand elles me forcèrent à me relever, me poussèrent sur le lit, m’obligèrent à m’y allonger sur le dos. Les ressorts grincèrent sous nos poids respectifs.

 

_ Reste couché ! ordonna Maria.

 

Avec une hâte qui prouvait leur excitation, les deux filles firent passer leurs robes sales et usées par-dessus leurs têtes… se retrouvèrent aussi nues que je l’étais !

 

Ma verge acheva de se dresser entièrement, décalottée, face à la vision de ces deux corps si différents et pourtant tellement excitants malgré la haine et la colère que j’éprouvais toujours.

 

Nadia, fine, blanche, de petits seins presque pointus, deux citrons avec deux framboises au bout, encore plus grosses qu’auparavant. Un ventre plat et un nombril fermé. Et à côté, Maria, plus petite, bronzée, potelée de partout, avec une poitrine bien plus grosse… Deux énormes melons cuivrés avec des mamelons d’un rose très sombre, larges comme des soucoupes…

 

Jamais je n’aurai pensé être aussi émoustillé par la vue des corps dénudés de ces deux garces. Était-ce à cause de cette tisane qu’elles m’avaient fait boire ?

 

_ Je m’en sers la première ! décréta la grande en grimpant sur la couche qui couina horriblement.

 

_ Eh ! C’est pas juste !

 

_ T’as qu’à te faire brouter en attendant ! Ça te changera de ma langue !

 

Nadia semblait déterminée et enjamba mon corps, se plaçant en me toisant de sa haute position. Cet angle me fit apercevoir la longue fente sous un nouveau jour. Le sommet s’évasait sur ce que je supposais être le clitoris… Un ergot nacré, assez gros, qui dépassait des crénelures rouges… Et ces deux seins qui semblaient si fermes, avec leurs tétons durs. J’eus envie de les toucher ! De les caresser ! C’était comme un instinct primaire.

 

 

 

 

Elle s’accroupit rapidement, saisit mon sexe entre ses doigts. Je me raidis, surpris par les frissons de volupté intenses que ce simple contact déclenchait en moi. Et avant que je comprenne, mon gland sensible frôlait sa vulve chaude.

 

_ Je vais le dépuceler, ce petit merdeux ! clama-t-elle à son amie. Tu te rends compte ?

 

Hahaha !

 

Bouche bée, je sentis ma verge s’enfoncer dans un fourreau de chair, brûlant et humide. Une sensation extraordinaire, comme je n’en avais jamais ressentie. Cet étau vivant me serrait délicieusement, de partout en même temps ! Il me prit tout entier, jusqu’au pubis, déclenchant une expression d’extase sur le visage d’ordinaire si vaniteux de Nadia.

 

Poussant sur ses cuisses, elle remonta jusqu’à presque me faire sortir… redescendit à nouveau. Ma verge pulsait par à-coups furieux. C’était sublime, divin ! Je ne cessais de me répéter que ça y était… Je n’étais plus puceau ! Même dans ces conditions, je n’étais plus vierge !

 

_ Je… Je vais pas tenir très longtemps…

 

Nadia montait et descendait lentement, régulièrement, avec un bonheur visible, sur mon membre. Je sentais que ma jouissance viendrait rapidement et j’avais cru bon de la prévenir.

 

Mais, loin de s’en inquiéter, elle ricana juste :

 

_ Je crois pas, Cricri… Tu vas même tenir très… très longtemps !

 

Maria grimpa à son tour sur le vieux lit qui protesta dans des grincements métalliques à n’en plus finir. Mais elle se plaça au-dessus de mon visage.

 

_ Tourne-toi vers moi ! lui suggéra la grande. Comme ça, tu lui colleras ton trou du cul sur le nez et tu pourras m’embrasser en même temps !

 

_ Ouiiiiii ! T’as raison !

 

Demi-tour de la gitane qui avait placé ses pieds nus de part et d’autre de ma nuque. Quand je la vis s’accroupir très lentement, avec sa vulve brillante qui baillait, sa raie sale qui s’évasait et s’approchait de moi, je connus un moment de panique. La tension sexuelle, bien trop forte, allait me faire éjaculer ! Surtout que Nadia poursuivait sa cavalcade.

 

_ Je rigole pas ! lançai-je d’une voix rauque. Ça vient, je vous dis ! Ça vient !

 

Mais je n’eus que leurs rires moqueurs en réponse. Sous mes yeux écarquillés, le fessier énorme et bronzé qui s’ouvrait toujours davantage. La vision de son anus souillé, ses poils maculés de matières fécales… de sa vulve baveuse qui s’épanouissait avec des allures de mollusque. Et les odeurs ! Terriblement intimes, puissantes, enivrantes.  

Je sentis mes testicules remonter dans ma bourse… j'allais jouir !… Mais… Que se passait-il ? La pression de l’éjaculation ne venait pas… Ni l’éblouissement qui accompagnait généralement avec délice le moment de la jouissance… Ma verge, pour dure qu’elle demeura, connut une dizaine de secondes d’insensibilité ! Enfin, je le vécus comme tel. Et voilà que le plaisir remontait, comme au début, quand elles s’étaient exhibées à moi !

 

_ Alors ? me nargua Nadia. J’attends ton foutre, Cricri…

 

Sa voix, transformée par le plaisir, m’annonçait presque que c’était finalement elle qui se trouvait au bord de l’orgasme.

 

_ Ça vient pas ? poursuivit-elle. Pauvre petit toutou… Il n’a pas le droit de faire sa petite giclette !

 

_ Ça veut dire qu’il va rester à moitié puceau, tu crois ? s’exclama alors Maria, dont les fesses demeuraient suspendues ouvertes à moins de dix centimètres de mon visage. Hahaha !

 

_ Faut croire que oui !

 

La gorge nouée autant par le spectacle obscène et les odeurs de l’intimité malpropre de la gitane que par les paroles singulières de mes deux bourreaux, je commençais à réaliser qu’elles ne m’avaient pas menti. Et, sur l’instant, je ne fus pas certain de trouver ça si… dérangeant.

 

J’allais pouvoir « baiser » aussi longtemps qu’il le faudrait ? À la bonne heure ! Quel homme ne rêverait pas d’un tel pouvoir ! Surtout que la chevauchée de Nadia se poursuivait avec de plus en plus d’entrain. Et que mon sexe y prenait sa part de bonheur !

Par aplaisirs
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