Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 18:49

chap 10

 

La menace n’aurait pu être plus claire. Je connaissais parfaitement la canne de Nadia et sa manière de s’en servir. Un seul coup sur mes testicules les feront exploser dans leur sac de peau ! Un désespoir sans nom s’empara alors de moi et je ne pus réprimer un sanglot dans ma gorge.

 

_ Par pitié, nooooooon ! Laissez-moi tranquiiiiiiiiille !

_ Oh oui, Christian… J’aime quand on me supplie ! Et si on commençait à s’amuser, tous les deux ?

 

_ Non ! Je ne veux pas !

_ Ton joli zizi me dit le contraire… Mmmmm… Oui ! Je vais commencer avec lui et tes bouboules…

Le souffle rauque de monsieur Piemare attestait autant que ses yeux exorbités ou sa bouche de plus en plus humide de l’excitation intense qui s’était emparé de lui. Et cette façon de me parler, comme à un attardé !

Je n’eus plus l’occasion d’argumenter. Le vieux pervers venait de commencer ses caresses abjectes sur mon sexe et mes testicules. Ses doigts me chatouillèrent et me branlèrent d’une manière parfaitement répugnante ! Il savait exactement comment faire pour que je réagisse entre horreur et plaisir malsain. Les attouchements très légers de ses deux mains brouillèrent mon esprit au point que je ne pus rien faire d’autre que supplier entre deux rires chatouillés. Ligoté comme je l’étais, si serré, je ne pouvais strictement rien empêcher et tout juste remuer du bassin sur quelques misérables centimètres carrés.

 

_ Mmmmmm oui… Regarde comme ton zizi est bien dur… comme il aime ce que je lui fais !… Comme il danse sous mes doigts !

_ Hihihihaaahaha ! Pitié ! Non ! Hahahaahiiiiiiihouahaha ! Non ! Stop ! Houhahahaa ! C’est trop horrible !

_ Oh oui, je sais… On va faire durer ça longtemps, mon petit chéri ! Hein ?

_ Non ! Non ! Hihiaahahahaah ! Arrêtez ! Hahahahaha !

 

Mon coeur battait à tout rompre sous les terribles caresses, si horripilantes et si horriblement excitantes. Il alternait les chatouilles sous mon scrotum et à la base de mon anus avec des caresses plus franches sur mon membre puis pianotait de nouveau sous mon gland découvert, déclenchant de nouvelles réactions incontrôlables qui me poussèrent au bord de l’hystérie. Je ne pouvais rien faire ! J’étais totalement en son pouvoir !

 

_ Je parie que Nadia et Maria ne te font pas ce genre de choses, pas vrai ? Mais moi, je te le ferai à chaque fois que je viendrai !

Je riais et me débattais, irritant la peau de mes poignets et de mes chevilles. C’était insupportable.

 

_ Oôôhhhh ! Regarde comme ton bout est mouillé ! Tu en mets partout sur ton ventre !

D’un index gras, il recueillit un peu de liquide et l’étala sur mon membre raide tout en continuant son jeu immonde ! Puis, il recommença ses chatouilles et ses caresses, m’entraînant dans une spirale de plaisir tordu. Combien de temps cela dura-t-il ? Une dizaine de minutes ? Plus peut-être… Quand enfin il consentit à arrêter, j’étais totalement en nage, le souffle court et l’esprit vide. Cette expérience serait parmi les plus traumatisantes de ma vie, j’en fus convaincu. Et ce sale vieux pervers se proposait de la rééditer régulièrement !

 

_ C’est étrange, quand même, les vertus de cette tisane… Je pourrai te branler pendant une heure et rien ne sortirait ?

 

Je sentis soudain la poigne de sa main droite se refermer sur mon pénis tendu à l’extrême. Voilà qu’il se mettait à me masturber pour de bon. Émoustillé comme je l’étais, la tension de la non-jouissance ne tarda pas à exploser.

 

_ Non ! Arrêtez ! Aâââârrrhhhhggg !!!

 

L’insensibilité, pour une poignée de secondes. Mais accompagnée de ces tambourinements dans la poitrine. Combien de temps mon coeur pourrait-il supporter cela ?

_ Tu as eu ton frisson ? C’est ça ?

Je sentis une curiosité sincère dans sa voix. J’opinai en reprenant un peu mon souffle. Il me lâcha alors et observa mon sexe, qui ne débanda pas un instant.

_ Qu’est-ce que ça fait, exactement ?

_ C’est… c’est comme de… de… comme quand on le fait normalement… Sauf que… près… ça… c’est…

_ Après, tu restes excité… C’est ce que tu veux me dire, mon petit Christian ?

_ Oui…

_ Extraordinaire, vraiment !

S’il savait à quel point ça ne l’était pas. S’il savait à quel point c’était vite une frustration des plus insupportables, de ne pas pouvoir éjaculer comme on le voulait !

Ses caresses redevinrent rapidement efficaces. L’insensibilité s’effaça au profit des chatouilles et des agacements, qui me firent à nouveau danser lascivement du bassin.

_ Mmmmm… Je crois que je ferai beaucoup d’expériences très intéressantes avec toi ! Peut-être que je te louerai pour une journée complète et je verrai combien de fois je peux te donner ton frisson en 8 ou 10 heures !

Mes yeux s’arrondirent d’une terreur non feinte. Il arrivait à Maria et Nadia de s’amuser avec moi trois ou quatre heures d’affilées et j’en sortais toujours totalement épuisé. Alors une dizaine d’heures risquait de me tuer !

Monsieur Piemare ne remarqua cependant pas mon effroi, s’étant penché en avant tout en jouant distraitement avec ma verge. Il commença à picorer mes tétons durs avec des baisers humides. Baveux, même ! Lorsqu’il réalisa que j’étais plutôt sensible, il pointa sa langue  glaireuse et entreprit une nouvelle interminable séance… de grignotage, cette fois !

À nouveau, je me débattis, éraflant un peu plus ma peau, suppliant, riant, criant et pleurant suivant ce que me faisait endurer la bouche molle de ce pervers sur mes deux tétines. Il me masturbait en même temps, mais sans chercher à m’amener à l’ersatz de jouissance.

Quand il eut terminé, mes bouts avaient doublé de volume et prit une teinte presque violacée. Des marques de dents comme de succion se devinaient sous la couche de salive immonde.

J’étais encore plus essoufflé qu’auparavant, un sentiment de désespoir m’étreignant si fort la poitrine que je songeai même au suicide ! Juste une fraction de seconde, parce que le plaisir malsain engendrée par la tisane et ma condition m’habitait toujours.

_ Tu es vraiment délicieux ! Exactement comme je l’avais imaginé !

Ses yeux fous brillaient derrière ses lunettes. D’un véritable éclat de démence perverse ! Un regard à faire peur !

_ Dommage que je ne puisse pas t’emmener chez moi… Encore que… Si je t’achetais à mes deux petites chéries… Je t’attacherai dans ma cave… Tu serais à moi… Je pourrai m’amuser avec toi tous les soirs, en rentrant de la mairie… Non ! Ce serait trop dangereux ! Il vaut mieux que tu restes ici !

Il se parlait à lui-même ! Et dire qu’il avait envisagé que je puisse devenir sa poupée sexuelle à domicile !

_ Et si je goûtais à ton zizi ? Hein ?

J’étais au-delà de tout sentiment compréhensible. Le dégoût, la peur, l’excitation et l’horreur se mêlaient pour former un bloc qui cognait dans ma cage thoracique avec une violence inouïe. La bouche entrouverte, je contemplai le sommet de son crâne dégarni qui descendait vers mon sexe tendu. Une main caressa mes testicules, faisant tressaillir ma verge. Et puis, l’haleine chaude sur mon gland… la langue qui goûta la perle translucide sur mon méat… qui s’enroula sous la corolle en me procurant des frissons indéfinissables… les lèvres molles et tièdes se refermant sur ma hampe…

Il me suça ! Il me suça langoureusement, amoureusement ! En me chatouillant les couilles et en me branlant de temps en temps !

 

Par aplaisirs
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus