Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 13:41

20150501_074041.jpg    chapitre 3

 

 

 

 

Gardant ses seins nus, elle releva tout d’un coup sa robe pour m’exposer son collant noir filé par endroits… et la culotte qu’elle portait par-dessous. De sa main libre, elle abaissa le tout à mi-cuisses, dévoilant un buisson de poils noirs.

 

_ Et ma chatte ? T’as envie de la voir, ma chatte ?

 

Les yeux écarquillés, je fixai le fouillis velu sous lequel se devinait le renflement de ses grandes lèvres sexuelles.

 

_ T’as envie de la lécher, peut-être ?

 

Je ne voulais pas évoquer ça dans ma tête. Mais ses mots… je me vis en train de passer ma langue dans sa « chatte », la supposant malpropre, malodorante… terriblement animale !

 

Et voilà que je bandais comme rarement, mon gland entièrement sorti, pour le plus grand ravissement de cette fille sans gêne.

 

_ Hahaha ! Tu peux secouer la tête, petit con… Ton zizi de puceau sait pas mentir, lui !

 

 

Du bruit au niveau de la trappe mit fin au petit jeu de Nadia. Mais elle garda les seins nus et son pubis à l’air. La tête de Maria apparut. Elle revenait avec une bonne longueur de corde…et n’avait pas abandonné son couteau.

 

_ T’as pas commencé sans moi, j’espère ? fit la plus petite en voyant sa copine à moitié nue.

 

_ Naaan ! T’en fais donc pas… Je voulais juste savoir si je lui plaisais…

 

_ On dirait bien que oui !

 

Maria reluqua longuement ma verge, avec les mêmes yeux gourmands et dangereux. J’aurai voulu ramollir mais voilà que je me mettais à voir également la gitane d’une nouvelle manière… À me demander à quoi ressemblait sa lourde poitrine… ou son postérieur qui faisait toujours un gros renflement dans ses vieilles robes. Même de visage, je lui trouvai quelque chose d’attirant… Elle était un peu plus mignonne que Nadia, semblait un peu moins garce mais tout aussi vulgaire.

 

_ J’espère que c’est pas un lapin, poursuivit-elle. Tu sais comment j’aime m’en servir, de la queue d’un mec !

 

Nadia pouffa, paraissant encore plus émoustillée :

 

_ On va vite le savoir ! Et si c’est un lapin, on lui donnera ce qu’il faut ! Allez… On fait comme on a dit ?

 

_ Ouaaaiiiiiis !!

 

Elles s’approchèrent, leurs couteaux levés dans ma direction. Je mis mes mains en avant, ne sachant pas ce qu’elles avaient en tête, paniquant à cause de cette ignorance.

 

_ Qu… Qu’est-ce que vous allez faire ?

 

_ Tu voulais t’excuser, avant, nan ? cracha Nadia, le regard à nouveau très dur. Mais avant ça, faut que tu paies !

 

_ Que… Quoi ? Mais… Non !

 

_ Ta gueule ! s’écria Maria en agitant la lame dangereusement près de mon ventre. Et assieds-toi par terre ! Le dos contre le lit !

 

La pointe de la lame piqua tout d’un coup le haut de ma cuisse. La douleur me fit glapir. Elles ne plaisantaient pas ! Une goutte de sang perla.

 

_ Grouille !

 

_ Oui ! Oui ! Mais fais gaffe avec ce couteau ! Regarde ! Je le fais !

 

Ma voix avait grimpé dans les aigus tant j'avais peur qu’elle me plante son arme quelque part dans le corps. Sans réfléchir je m’assis sur le sol poussiéreux et reculai jusqu’à ce que mon dos touche le lit qui se trouvait contre l'une des deux cloisons non mansardées.

 

_ Vas-y, Nadia ! Attache-le !

 

_ Avec plaisir !

 

En voyant la corde changer de main, je compris ce qui m’attendait. Je me remis à secouer la tête, affolé à l’idée de me retrouver sans défense face à ces deux folles.

 

_ Non ! Écoutez ! Ce n’est pas la peine ! Je ferai tout ce que vous me demanderez ! Tout !

 

La grande venait de saisir un de mes mollets et, avec habileté, fit un noeud dans la corde qu’elle enserra autour de la cheville. Elle possédait une force surprenante, pour une fille.

 

_ T’as intérêt à te laisser faire si tu veux pas que Maria te coupe les couilles !

 

La gitane s’accroupit en face de moi, son couteau bien en vue. Je ne pus m’empêcher de reluquer entre ses cuisses légèrement écartées. Elle aussi portait un collant noir passablement usé. Et, visiblement, une culotte sombre dessous.

 

Paralysée par la peur, je fus le témoin tremblant et nu de la privation progressive (mais rapide) de mes gestes. Nadia semblait parfaitement savoir ce qu’elle faisait. La longue corde passa autour des montants métalliques du lit, qui était lui-même fixé au sol par d’épaisses pattes rouillées et de grosses vis dans les mêmes tons bruns.  

Un poignet subit les affres du chanvre… puis le second. Je n’arrivais toujours pas à réaliser ce qui me tombait dessus. Ni à vraiment comprendre ce que ces deux garces me réservaient comme sort. Elles avaient dit qu’elles comptaient me garder prisonnier ici… Mais quelqu’un finirait forcément par s’inquiéter de ma disparition, non ? Mes parents… Enfin, je l’espérais… Et elles voulaient  «s’amuser » avec moi ? Il y avait eu des allusions sexuelles… Pourtant, venant de leur part, cela pouvait tout aussi bien être une moquerie.

 

Nadia agissait toujours avec cette étonnante rapidité, achevant par mon autre cheville. J’avais désormais les bras à l’équerre sur le bord du matelas… crucifié assit à même le sol. 

Une jambe tendue d’un côté… Lorsqu’elle tira sur le bout restant, mon autre jambe fut tirée à l’opposée. Une douleur brutale dans les aines me fit crier.

 

_ Ta gueule ! ordonna Maria en approchant la pointe du couteau tout près.

 

_ Mais ça fait trop mal !

 

_ M’en fout !

 

Serrant les dents, les larmes aux yeux, je fis un effort pour ne pas exprimer ma souffrance aussi directement. Quand Nadia se redressa, un sourire satisfait à ses lèvres si pleines, je  

compris… Ligoté contre ce vieux lit métallique, les cuisses très écartées, les bras étirés de part et d’autre, j’offrais mes parties génitales de la plus totale des manières.

 

Maria se releva à son tour. Je ne pouvais plus bouger. Du tout.

 

_ Voilà, fit la grande. C’est mieux comme ça… Et maintenant, tu vas payer pour le sale coup que tu nous as fait !

 

J’écarquillai les yeux, fou de terreur en les voyant s’amuser avec leurs couteaux, imaginant déjà qu’elles allaient m’émasculer ! Et ce fut avec un soulagement sans nom que je les contemplais, posant leurs armes sur la table basse, à côté du lit.

 

_ C’est vrai que t’es puceau ? demanda la gitane.

 

Je ne répondis pas. Mes joues chauffèrent d’un coup et je sus que je rougissais. Un aveu suffisant pour cette petite brune qui aurait été tellement mignonne sans son air vulgaire et ses vieilles robes sales. Elle se tourna vers sa copine et débuta un échange auquel je ne saisis tout d’abord pas grand-chose :

 

_ On pourrait lui donner un exemple de ce qui l’attend…  

_ Slips ?  

_ Slips et collants !  

_ T’es dégoûtante !  

_ Je sais… C’est ça que t’aimes chez moi, nan ?  

_ Mmmmm… Ouuuiiiiiii…

 

 

Elles se fixaient avec une telle intensité et il se dégageait d’elles un tel magnétisme animal que ma verge, encore bien dure, tressauta. Elles approchèrent leur visage l’une de l’autre… se tendirent les lèvres… s’embrassèrent tout d’un coup avec une passion incroyable. La rumeur disait donc vrai : lesbiennes ! Enfin, plus sûrement bisexuelles puisque chacune avait déjà couché avec au moins une de mes connaissances.

  Quand elles se séparèrent et me toisèrent à nouveau avec ce mépris dont elles savaient faire preuve, je me sentis encore plus humilié.

 

La bouche ouverte, je les vis alors retirer leurs chaussures puis faire glisser leurs collants sombres et filés sur leurs jambes. Je vis pour la première fois la pâleur des mollets de Nadia et les cuisses plus bronzées de sa copine gitane. Des jambes très différentes mais finalement plutôt agréables à regarder…

 

Mon trouble s’accentua encore quand elles retirèrent leurs culottes et que j'aperçus le buisson fourni de leurs pubis. Je venais de voir celui de Nadia quelques minutes plus tôt et j’avais deviné plus que vu les poils de Maria, qui semblaient aussi noirs que sa chevelure.

 

L’instant suivant, une odeur à la fois pisseuse et marine me parvint. Ça me rappela les crevettes tout autant que les toilettes. Elles ne devaient vraiment pas se laver souvent !

 

_ Je suis sûre que tu vas faire un excellent petit lécheur, fit doucement la plus grande. Tu crois pas, minable ?

 

 

 

 

Les joues à nouveau brûlantes, je demeurai la bouche entrouverte, ne sachant pas quoi répondre, le coeur cognant dur dans ma poitrine. Je n’avais jamais fait l’amour… des questions se bousculaient dans ma tête. De quoi voulait-elle vraiment parler ? De leur lécher le sexe, à toutes les deux ? Je n’osais croire qu’elles me demanderaient cela… L’espérais et le redoutais en même temps ! Ce n’était pas du tout ainsi que j'avais envisagé ma « première fois ».

 

_ Il répond pas, poursuivit Maria. Il a peut-être peur qu’on lui demande quelque chose de trop sale…

 

_ Et il aurait raison ! Tiens, regarde, sale petit merdeux !

 

Nadia s’approche tout près de moi, m’exhibant sa culotte, la dépliant et mettant le renfort juste sous mes yeux. Un slip en coton qui avait dû être blanc au départ. Sa couleur grisâtre témoignait de son âge… et les traces brunes et jaunes que j’y vis firent s’agrandir encore davantage mes yeux.

 

_ Tu trouves qu’il est crade ?

 

J’opinai, ne pouvant nier ces longues traces brunâtres et cette énorme tache pisseuse. De plus, il dégageait une odeur vraiment puissante, de sueur, d’urine et des notes amères d’excréments.

 

_ C’est normal, poursuivit-il. On a pas beaucoup de pognon, pas de machine pour laver le linge… Alors on est obligé de les garder parfois plus de deux semaines… Celui-là, ça fait depuis mardi dernier que je l’ai pas changé…

 

Elle fit ressortir le renfort souillé et le passa soudain sur mon visage.

 

_ Tiens, renifle ! Hahaha !

 

Des frissons d’horreur électrisèrent la peau de mes joues. J’eus beau secouer la tête, elle continua de frotter les parties sales de son sous-vêtement sur mon nez, ma bouche, mes yeux…

 

_ Il a l’air d’aimer ça, commenta la gitane. Regarde comme sa bite saute !

 

_ C’est parce qu’il sent enfin les odeurs d’une fille pour de vrai !

 

_ Non ! Non ! Stop !

 

Elle n’écouta pas et continua encore un moment, riant comme une petite folle. Je ne pouvais même pas contredire Maria. Je sentais ma verge pulser, bouger toute seule. Et je n’arrivais pas à croire que ces odeurs, cette saleté, que même ma situation puisse m’exciter de cette manière. 

Quand enfin elle arrêta, ce fut pour me mettre la culotte sur le crâne, à la manière d’un bonnet. Les parties sales sur mes cheveux, bien entendu. Je commençais à ressentir des douleurs musculaires à cause de mon immobilité forcée.

 

_ Détachez-moi, s’il vous plaît ! m’entendis-je implorer. J’ai compris ! Je vous jure que je ne me mêlerai plus de vos affaires ! Je suis désolé !

 

Les deux garces se regardèrent et pouffèrent subitement, comme si elles ne croyaient pas ce qu’elles entendaient.

 

_ Eh ! aboya la gitane. Ta punition vient à peine de commencer, pauvre con ! On s’en tape, de tes excuses ! On veut que tu paies !

 

_ Mais vous allez me relâcher ? Hein ?

 

Un nouvel échange de regards, que je ne compris pas. Elles avaient l'air de se connaître tellement bien qu’elles n’avaient pas besoin de parler. Maria s’accroupit finalement devant moi et roula sa culotte noire en boule, la face qui avait été en contact avec ses parties intimes tournée vers l’extérieur.

 

_ T’es vraiment trop con, souffla-t-elle. T’as pas encore pigé, hein ?… Pas grave ! Ouvre la bouche !

 

_ Non !

 

Je scellai mes lèvres, devinant ce qu’elle projetait de faire. Mais elle pinça soudain un de mes mamelons avec cruauté.

 

_ AAAAHHRRRRRGHMMMMMMM ! MMMMGH ! MMMMMGHHHHR !  

 

La gitane fourra son slip sale dans ma bouche, étouffant mon cri. Immédiatement, mon palais et ma langue furent agressés par des saveurs poivrées autant que salées.  

Je voulus recracher la chose par réflexe mais la petite brune vicieuse m’en empêcha.

 

_ Nadia ! Viens m’aider !

 

La grande arriva à son tour, riant toujours, les yeux brillant d’une sale excitation. Je vis, affolé et dégoûté, qu’elle prit les collants pour les passer autour de ma tête. En moins de vingt secondes, les deux paires de nylon servirent à maintenir le bâillon immonde dans ma bouche. Pire encore, cette vipère aux yeux verts s’arrangea pour que les extrémités où avaient marinés leurs pieds sales se retrouvent juste sous mes narines.

 

Quand elle se redressèrent, j’étais au bord de la nausée… et excité comme jamais encore de ma vie. Les effluves lourds et vinaigrés, terriblement intimes, que dégageaient les collants m’enivrèrent à une vitesse incroyable. Les puissantes odeurs s’incrustèrent dans mon nez tandis que je salivais comme un fou sur le slip en coton entièrement enfoncé dans ma bouche.

 

Je savais qu’il devait être aussi répugnant que celui que j’avais toujours sur le crâne. Avec des traces brunes de matières fécales, des auréoles d’urine et de cyprine séchées, des reliquats de sueur et peut-être même de menstrues. Tout cela formait un cocktail de goûts épicés impossible à ignorer.

 

Mes deux ravisseuses se régalèrent longuement de ma déchéance, riant de leur victoire totale.

 

_ Alors, pauvre minable ? s’enquit Nadia. Qu’est-ce que tu préfères ? L’odeur de nos pieds ou le goût des trous de Maria ?

 

Bien sûr, bâillonné, je ne pus répondre. Pourtant, malgré l’abjection de ce qu’elles me faisaient endurer, je bandais toujours plus dur.

Par aplaisirs - Publié dans : soumission
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