Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 19:00

chap 11

 

_ C’est dégueulasse ! m’entendis-je soupirer à un moment. Arrêtez !

Lui soufflait fort, respirait comme un boeuf. Il cessa un instant, se redressa et me toisa avec une cruelle ironie.

_ Arrêter ? Hahaha ! Tu plaisantes, mon mignon ? Ton zizi est à moi ! Ton corps entier est à moi ! Je peux faire ce que je veux ! Tu m’entends ? Tout ce que j'ai envie !… Et puis, tu as l’air d’aimer ce que je te fais, petit menteur ! Tu bandes comme un âne !

_ Non ! Ce n’est pas ma faute !

Il ricana et remonta ses lunettes sur son nez.

_ Il va falloir t’y habituer, mon joli ! Là, ce n’est que notre premier rendez-vous, histoire de

faire mieux connaissance…

Il replongea sur mon sexe, le goba tout entier. Monsieur Piemare me fit alors une fellation incroyable. Un doigt s’insinua entre mes fesses. J’eus beau essayer de les serrer, il parvint à pénétrer mon anus, trempé de sueur malodorante.

_ Aïïïeee !! Ça fait mal ! Je… Non… Arrêtez ! Stop !

Tout en continuant à me sucer, il s’était mis à faire aller et venir son doigt dans mon rectum, lentement, avec un vice que je perçus tout de suite comme habituel. Il massa une région spécifique en moi, m’amenant très vite au bord d’une nouvelle non-jouissance, faisant battre mon pauvre coeur de plus en plus fort.

Quand, au bout de plusieurs longues minutes, son autre main se mit à agacer un de mes tétons en même temps, c’en fut trop ! Une lumière éclata dans mon cerveau ! Ma verge pulsa comme sous l’effet d’une masturbation invisible ! Et tout mon être fut traversé par une sorte de courant électrique de plaisir !

Je m’entendis encore crier et râler avant de sombrer dans une sorte de demi inconscience.

Combien de temps étais-je resté dans cet état presque comateux ? Mystère. Mais quand je rouvris les yeux, j’eus la vision ignoble de la verge de monsieur Piemare devant mon visage. Je bandais toujours.

_ Ah ! Tu reviens enfin à toi !

Son sexe dur possédait une pâleur maladive et émergeait d’un buisson de poils grisonnants. Assez longue, légèrement courbe, parcourue de veines bleues disgracieuses, elle ne me parut guère épaisse. Surtout, son gland rouge effilé et malpropre me laissait deviner une odeur pisseuse très piquante.

_ Il ne nous reste plus beaucoup de temps aujourd’hui, mon mignon ! Comme tu n’es pas dans la bonne position pour que je t’encule ou que tu puisses me sucer correctement, on va faire autrement !

Le voilà qui grimpait sur mon lit. Les ressorts couinèrent à nouveau, vieux compagnons de mon infortune. Lorsqu’ils hurlaient, je savais que j’allais « passer à la casserole » d’une manière ou d’une autre.

Il avait retiré ses chaussures et son pantalon mais avait gardé sa chemise. Il me chevaucha la poitrine, approchant son sexe tendu de mon visage.

_ Tu vas ouvrir la bouche et je vais m’en servir comme d’un vagin… et jouir dedans !

Le gland sale effleura la peau de mon menton. Un long frisson me parcourut, me donna la chair de poule.

_ Non… Pitié, monsieur Piemare… Pas ça…

_ Tu préfères que j’appelle Nadia pour qu’elle s’occupe de tes couilles à sa douloureuse manière ?

 

Il me laissa le temps de la réflexion, bien certain que j’allais obéir. Et, bien sûr, j’ouvris la bouche. Avec un soupir de plaisir infâme, il se démena au-dessus de moi pour venir mettre son gland pisseux sur ma langue.

_ Ouiiiii ! C’est bien, Christian… Maintenant, tu ne bouges plus ! C’est facile, tu n’as rien à

faire… Tu devras juste avaler mon sperme…

De nouvelles larmes d’humiliation m’empêchèrent de bien voir. Qu’étais-je donc  devenu ? Une poupée pour un vieil homosexuel pervers… Une poupée dans laquelle il allait se vider.

_ Attention ! Je ne veux pas sentir tes dents ! Que ta langue et tes lèvres !

Je fis encore mon possible, la peur d’une douleur insoutenable me tordant le ventre.

Car, s’il recourait à Nadia pour me punir…

Ce fut à son tour d’entamer une abjecte danse des hanches. Sa verge pénétra ma bouche, en ressortit presque, y retourna, glissant sur ma langue, y déposant son arôme d’urine et de

sueur.

_ Sers un peu les lèvres, mon chéri !

Je compris en obéissant à ce dernier ordre qu’il n’avait pas menti. Il se servait vraiment de ma bouche comme d’un vagin. Ce fut le début du plus pénible des sévices qu’il m’infligea. Il ne me touchait plus la verge et, de fait, j’avais pleinement conscience de ma déchéance.

 

Quand ses soupirs devinrent plus profonds, ses râles de plaisir malsain plus  horripilants, l’envie de le tuer me reprit. Mais j’étais attaché, à son entière merci. Contraint d’être violé par la bouche dans ce lent et abject va et vient, contraint d’écouter les délires qui accompagnèrent ses instants de bonheur immonde :

_ Mmmmm… Oui, Christian… Comme ça… C’est bien, ma petite pute ! C’est ce que tu vas devenir… Ma petite pute soumise, que je viendrai visiter quand j’en aurai envie !… Tu seras tout le temps attaché, avec moi ! Mais pas toujours dans cette position… Là, on fait juste  connaissance…

La prochaine fois, j’enfoncerai mon gros zizi dans ton petit trou du cul serré !… Et on fera plein de choses, ensemble ! Je te caresserai des heures, partout, jusqu’à ce que tu n’en puisses plus… Je te ferai embrasser mon cul… Je te chatouillerai les pieds en t’obligeant à lécher les miens… Je te ferai vénérer ma bite en jouant avec tes tétines… Je… Oôôôôôhhhh ! Je… Jouiiiiiiis !!

Sa verge pulsa dans ma bouche et, soudain, une purée brûlante et terriblement salée heurta ma luette, manquant m’étouffer. Je voulus recracher son membre qui continuait à déverser sa semence mais monsieur Piemare garda sa position en râlant, en bavant sur mon visage, les yeux révulsés. Je ne pus rien faire d’autre que déglutir, encore et encore, avalant son sperme et parachevant mon humiliation. Un sac à foutre, voilà ce que j’étais devenu !

 

 

Piemare partit, Nadia et la gitane étaient revenues pour me détacher, hormis le collier. Mes poignets et mes chevilles conserveraient longtemps les éraflures et les rougeurs. Je fus

cependant étonnée de les voir me passer une pommade pour apaiser la brûlure.

_ On devrait protéger sa peau avec un tissu, tu crois pas ? demanda Maria à sa copine qui venait de terminer de me « soigner ».

_ Oui… Il m’a dit qu’il viendrait deux ou trois fois par semaine… Tu as raison, ça vaudra

mieux.

La gorge nouée, je réalisai que les promesses de l’adjoint au maire n’avaient pas été du vent. Je me sentis blêmir et osai une supplique illusoire :

_ S’il vous plaît, non… Dites-lui de ne pas revenir !

Nadia me décocha une gifle magistrale.

_ Pas revenir ? Tu rigoles ou quoi ? Tu as vu le fric que tu nous as rapporté en deux heures ?

Il viendra aussi souvent qu’il voudra, t’entends ? Et toi, tu feras tout ce qu’il voudra !

Je portai la main à ma joue endolorie. Le piège achevait de se refermer sur moi comme je comprenais la véritable raison de ma présence. Je n’avais vraiment cru qu’à une vengeance, au départ…

_ Ce sera pas ton seul client, d’ailleurs ! renchérit Maria en me crachant au visage. Tu vas

nous rapporter du pognon ! Beaucoup de pognon ! Tu feras la pute pour qui on te dira ! Que ce soit pour un mec ou une nana !

D’autres clients ? Des hommes et des femmes ? Que je connaissais peut-être…

Nadia confirma cette crainte immédiatement :

_ Ta prochaine cliente viendra en soirée ! C’est la grosse Berchand !

_ Qu… quoi ? bégayai-je. Ma… madame Berchand, la… la boulangère ?

_ Ouais !

Je n’en revenais pas ! Je connaissais cette femme depuis longtemps, maintenant. « Grosse » était un terme parfaitement adéquat, en conformité avec sa corpulence. Je ne l’avais jamais apprécié non plus. Visage antipathique, yeux de fouine, dents gâtées par l’abus de sucreries…

Devant mon expression abasourdie, les deux filles éclatèrent de rire. La gitane en rajouta :

_Elle viendra pour 8 heures ce soir… Elle va payer pour quatre longues heures en ta compagnie, petit merdeux ! Et avec elle, tu vas déguster ! Elle va te faire regretter Piemare,  crois-moi!

_ Pou… pourquoi ?

_ Je la connais bien ! Elle a demandé que tu sois attaché par terre, en croix… Je sais déjà qu’elle va s’amuser à t’étouffer sous son gros cul blanc… que tu devras lécher en profondeur… Et sa chatte énorme aussi ! On te donnera une double dose de tisane !

_ Non ! S’il vous plaît, non !

_ Oh si ! reprit la grande brune. La Berchand est longue à jouir et Maria m’a dit qu’elle adorait griffer son mec du moment, quand elle le baise ! Et qu’elle adore écraser des couilles sous ses pieds !

L’appréhension se mua en terreur. J’allais de nouveau être attaché, me retrouver sans défense, subir des sévices interminables infligés par une femme qui paierait pour ça. Ma poitrine se serra d’une angoisse indescriptible et de nouvelles larmes roulèrent sur mes joues.

_ Pitié… Non…

Mais qu’avais-je à espérer de ces deux garces qui ne voyaient plus en moi qu’un moyen facile de gagner de l’argent… et un jouet sexuel.

_ Tu feras une petite sieste cette après-midi, souffla Nadia. Après le déjeuner. En attendant, tu vas te coucher et nous montrer ce que tu sais faire avec ta langue et ta queue !

Un jouet sexuel avec lequel elles pourraient s’amuser à volonté…

Par aplaisirs
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