Non catégorisé

Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 14:20

chapitre 4

 

 

 

_ Avant-goût, tu veux dire ! la reprit sa copine. C’est juste pour l’habituer, tu sais bien…

 

_ Vu comme il bande, c’est sûr qu’il aime ça ! Je t’avais dis que ce serait un bon client, ma chérie !

 

Ces sous-entendus attisèrent mon angoisse. Je ne savais toujours pas quel sort me serait réellement réservé. Il me paraissait irréalisable qu’elles veuillent me retenir dans ce grenier, contre mon gré, plus longtemps qu’une journée. Elles devaient juste vouloir me faire peur.

 

_ Ça reste à voir ! reprit Maria. On va déjà vérifier s’il tient bien la route…  

La gitane tira les deux chaises proches pour les placer en face de moi. Les garces s’installèrent confortablement dessus puis levèrent les jambes pour me présenter leurs pieds nus et sales à quelques centimètres du visage. Nadia eut un ricanement entendu avant de demander d’une voix aussi suave que cruelle :

 

_ Dis-nous, suceur de slip… Tu les trouves pas mignons, nos petits pieds ?

 

Elles les approchèrent encore, presque jusqu’à me faire loucher dessus. Leur puanteur, je les avais déjà à travers les collants qui agaçaient mes narines. Et j’eus également droit à leur crasse, voyant chaque ignoble détail. Les talons brunis, les plantes salies, les souillures noirâtres entre leurs orteils. Nadia avait les pieds les plus grands et les plus pâles, avec des doigts longs et fins. Ceux de Maria, plus potelés et petits, possédaient la même couleur tirant sur le caramel que le reste de son corps. Mais les quatre personnages malpropres devant mes yeux luisaient de sueur et ne semblaient pas avoir connu le savon depuis plusieurs jours.

 

Vicieusement, elles écartèrent leurs orteils plusieurs fois, me laissant entrevoir les innombrables boulettes de crasse, collantes et certainement puantes, qui se nichaient entre. Une vision perturbante, car elle m’émoustilla une fois de plus en même temps qu’elle me répugna.

 

La gitane, tête penchée de côté, sourire enjôleur aux lèvres, susurra ensuite :

 

_ Je parie qu’il a envie de les embrasser… de les câliner…

 

Je secouai la tête. Comment pouvait-elle penser une chose pareille ? Elles se remirent à rire, me laissant à penser qu’elles avaient finalement chacune un petit grain dans la tête.  

 

Nadia fit glisser son pied gauche sur ma poitrine. Le contact m’électrisa autant que celui des sous-vêtements souillés sur mon visage. C’était tiède et humide… vaguement collant.

 

Lorsqu’elle effleura de son gros orteil mon téton, je me raidis dans mes liens, me faisant mal.

 

_ Sensible des bouts ? questionna-t-elle en faisant tourner son doigt de pied sur mon mamelon qui gonflait. Mmmmm… J’aime !

_ Mmmmmghhh… Mmmmmgrrrrhhh !!!

 

Impossible de sortir le moindre le son compréhensible. La peur remplaça lentement l’appréhension. Je secouai encore la tête, les yeux certainement exorbités. Et ça leur plaisait, de m’avoir ainsi à leur merci ! Je pus le lire dans chaque expression, l’entendre dans chaque rire moqueur !

 

Maria fit comme sa copine, avec l’autre téton. Bientôt, j’eus les quatre pieds malpropres et humides qui jouaient sur mon torse, titillant mes bouts, chatouillant mes côtes, caressant mon ventre. Incapable de me protéger, je subissais cela en véritable torture, les yeux rivés sur les ongles assez bien coupés mais sales dessous.

 

Le supplice dura longtemps. Peut-être une dizaine de minutes, qui me parut une éternité… au terme de laquelle chacune descendit un pied vers mes parties génitales.

 

Le premier contact sur ma verge me fit cesser de respirer quelques instants. Nadia, de son long pied fin et blanc, caressa toute la hampe, très légèrement. Jamais je n’avais connu de contact plus incroyablement charnel et répugnant ! Lorsque Maria passa ses orteils boudinés sur mes testicules sans défense, je fus comme paralysé intérieurement, avec l’impression que mon coeur subissait une décharge de 1000 volts ! Dans mon esprit, un effroyable scénario se joua : et si elle décidait de donner des coups dans ma bourse ? Ou de l’écraser sous son talon ? Je ne pourrai strictement rien faire pour l’empêcher.

 

Elle ne le fit pas mais les deux semblèrent fasciner par la goutte translucide qui perlait sur mon méat.

 

_ Ben dit donc ! lança Nadia. On dirait qu’il est amoureux de nos pieds !

 

_ Tu crois qu’on arriverait à le faire juter comme ça ?

 

Je compris à cet instant ce qu’elles avaient eu en tête sans doute depuis le début…avant même de me tenir entre leurs mains. Le terrible sourire de Nadia quand ses yeux verts croisèrent les miens me tétanisa encore davantage.

 

_ En moins de dix secondes, je parie !

 

Sous leurs éclats de rire moqueurs et excités, je subis alors une forme de masturbation inédite... et terriblement efficace ! Nadia prit ma verge entre ses deux longs pieds pâles et imprima un mouvement de piston volontairement maladroit. Dans le même temps, les orteils de Maria pianotèrent sur mes testicules dégagées.

 

Dans ma tête, tout s’accéléra. C’en était trop. L’odeur infâme et pourtant stimulante des collants… Le goût pisseux et merdeux de la culotte souillée… Les sensations de cette branlette, décuplée par les liens qui m’empêchaient d’y réagir… 10 secondes ? Même pas !

 

Je grognai et bavai avant un flash de lumière intense accompagnant une éjaculation phénoménale ! Une jouissance sans pareille qui dura… dura… Je sentais les pieds nus de la gitane qui pressaient ma bourse comme pour en extraire le jus… Les orteils de la grande garce qui tiraient la peau de mon prépuce en arrière, totalement, douloureusement… J’entendais leurs ricanements…

 

Et puis, le vide dans ma tête autant que dans mes testicules. Quand la dernière giclée ruissela sur mon sexe, elles cessèrent leur ignoble caresse.

 

Je me sentis alors pris d’un désespoir sans nom doublé d’un immense dégoût… De moi, d’elles, de ce qui m’arrivait. Elles se levèrent et je perçus une affirmation dans le timbre rauque de Nadia :

 

_ Un vrai lapin !

 

_ On va corriger ça… Viens…  

 

Maria entraîna sa copine derrière elle. La minute suivante, je me retrouvai seul dans ce grenier minable et trop chaud, toujours ligoté contre le lit, les épouvantables odeurs de sueur vinaigrée dans les narines… Les saveurs intimes les plus sales dans la bouche… Le torse recouvert de mon propre sperme…

 

Un long sanglot mourut dans ma gorge juste avant que je ne sombre dans une sorte de demi-sommeil cauchemardesque : elles n’allaient pas me libérer, j’en fus persuadé.  

 

Elles m’avaient réveillé par des gifles. M’étais-je endormi ou évanoui à un moment ?

 

Certainement… Car j’avais repris conscience, certes toujours nu mais détaché. Enfin, pas exactement. Je portais une sorte de collier autour du cou, relié à une chaîne longue de trois mètres solidement arrimée à un anneau énorme lui-même fixé au sol.

 

_ Maintenant, t’es le clébard de la maison ! avait décrété Nadia, son plus ignoble sourire collé à ses lèvres si pleines et ourlées.

 

Je n’avais pas répondu immédiatement. Par l’unique fenêtre de cet endroit, j'avais vu que la nuit était tombée. Je n’avais aucun souvenir d’avoir été détaché. Par contre, la chaîne qui me retenait m’empêcherait d’atteindre la trappe… ou cette fenêtre… Je serai contraint de rester dans un demi-cercle plutôt restreint, avec le vieux lit au centre de mon « nouvel univers ». Une soif intense me tenaillait. Sans doute à cause de cette culotte malpropre en coton que j’avais dû garder en bouche trop longtemps.

 

Les deux garces s’étaient rhabillées partiellement. Juste leurs robes défraîchies et de vieilles pantoufles aux pieds. Leurs sous-vêtements reposaient dans une des bassines en métal.

 

_ Je ne suis pas un chien ! finis-je par affirmer.

 

_ Mais si ! clama la gitane. T’es Cricri, notre clebs !… Et tu vas nous rapporter du pognon !

 

Je fronçai les sourcils. Ainsi, elles n’avaient pas eu seulement l’intention de se venger de mon intervention chez le droguiste…

 

_ Comment ça ?

 

_ Tu verras bien, reprit Nadia. En attendant, on va devoir te dresser !

 

J’avais repris un peu de mes esprits. Une colère sourde se couplait à une peur bien compréhensible. Maintenant que j’avais joui, je ne voyais plus les choses aussi « naïvement » qu’avant. Pourtant, enchaîné comme je l’étais, face à ces deux filles capables de beaucoup de choses, j’avais parfaitement conscience que je devrai me montrer très prudent.

 

_ Vous ne pourrez pas me garder ici…

 

_ Pourquoi pas ? Pour l’instant, personne sait que tu es là… Et personne viendra t’y chercher !

 

_ On va s’inquiéter pour moi !

 

_ Ah ouais ? fit Maria. Qui ça ? Tes vieux ? Tes copains ? Et alors ? On s’en fout ! Dans quelques jours, tout le monde croira que t’es parti pour la ville…

 

Une boule d’angoisse me comprima la poitrine tout d’un coup. Je n’avais pas tous les éléments… j’en découvrais sans cesse d’autres… Et la certitude que toute cette histoire dépassait le cadre de la petite vengeance mesquine se raviva en moi.

 

_ Comment ça ?

 

Je vis dans l’expression de joie cruelle des deux garces qu’elles ne plaisantaient pas.

 

Nadia écarta les bras, comme pour me signifier une évidence :

 

_ Quelqu’un, dans le village, va nous aider… Il va faire croire à tout le monde que tu t’es barré en ville… avec une fille, par exemple !

 

_ Pou… pourquoi quelqu’un ferait ça ?

   

_ Tu le sauras bien assez tôt, Cricri ! Mais en attendant qu’on puisse gagner du fric avec toi, faut d’abord qu’on te dresse et qu’on règle deux ou trois trucs. Et pour commencer, on va s’occuper de ton problème d’éjaculation précoce, petit lapin !

 

Je me sentis piquer un fard et reculai d’un pas, d’instinct.

 

_ Je… Je suis pas un… un…

 

_ Un lapin ? m’aida Maria. Mais si ! T’as giclé ta sauce en moins de deux, tout à l’heure !

 

En te faisant branler par nos pieds crades… en reniflant nos collants et en suçant mon slip… On a toujours pensé que tu devais être un peu tordu mais là…

 

_ Non ! protestai-je. C’est faux ! C’est vous qui… qui… qui m’avez…

 

_ Qui m’avez quoi ? se moqua la gitane. Nous, on croit que t’es amoureux de l’une de nous… ou des deux… Et on veut bien te baiser ! T’es plutôt mignon, t’as une belle queue… Mais on veut pas d’un chien chien qui gicle dès qu’on lui fait un truc un peu hard… Nous, ce qu’on veut,c’est que tu restes dur aussi longtemps qu’on veut, sans juter !

 

Ses paroles m’ébranlèrent un peu plus. Si je comprenais bien, elles voulaient faire de moi une sorte de jouet sexuel vivant. Une idée que me perturba au plus haut point. Je détestais ces deux garces. Je les haïssais même ! Mais une sombre part de moi avait envie de sexe avec elles.

 

Tellement que je sentis ma verge molle me picoter.

 

_ File-lui la tasse, Maria ! J’ai envie, moi !

 

La mignonne petite gitane récupéra une vieille tasse que je n’avais pas remarqué sur l’unique table de ce grenier. Un liquide translucide, vaguement verdâtre, la remplissait presque… me rappelant au passage ma grande soif.

 

_ Tiens ! Bois ça…

 

Je pris ce qu’on me tendait, portait la chose à mes narines, reniflait. Une odeur médicamenteuse, assez désagréable.

 

_ Qu’est-ce que c’est ? Une tisane ?

 

_ Un genre, ouais… Tu bois et tu la fermes !

 

_ Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y a dedans ? C’est une drogue ? C’est ça ?

 

Malgré ma soif, je n’avais aucune envie de boire ce liquide inconnu qui n'augurait rien de bon. Maria dût le sentir, car elle consentit à m’expliquer :

 

_ C’est juste une tisane… Mais avec ça, tu banderas dur sans pouvoir gicler pendant une dizaine d’heures.

 

Avais-je bien entendu ? Cette… « potion » aurait le pouvoir de bloquer une éjaculation et de maintenir une érection ?… À nouveau, le mot de « drogue » me revint, sachant que certaines d’entre elles avaient des propriétés similaires.

 

_ Et ça t’empêchera aussi de tomber malade, crut bon d’ajouter Nadia.

 

Loin d’apaiser mes craintes, cela ne fit que les amplifier. Pourquoi pensaient-elles que je risquais d’être malade ? Je voyais difficilement ce qu’elles pourraient me faire de pire que l’humiliation subie quelques heures plus tôt.

 

_ Où est-ce que vous avez trouvé ça ?

 

_ C’est une recette de ma grand-mère ! déclara Maria. On se la transmet de génération en génération… Bois !

 

Formule toute faite et bien pratique mais qui ne m’expliquait rien. Je secouai la tête.

 

_ Non… Je ne veux pas…

 

Les garces se consultèrent et poussèrent un soupir de contrariété. Nadia tourna alors les talons et alla fouiller dans une petite malle, hors d’atteinte pour moi, qui se trouvait sous une mansarde à l’autre bout du grenier. Elle revint rapidement avec une sorte de bâton assez court et souple.

 

SWWWIIIIIISH CLACK !

 

 

 

Lorsqu’elle le claqua sur la table, le bruit résonna avec violence, me faisant sursauter.

 

 

Tu préfères la manière forte, Cricri ? Avale ou je te le fais prendre en lavement ! Et je te jure que ce sera aussi efficace par un trou que par l’autre !  

_ Vous… Vous pouvez pas me demander ça !

 

  

SWWWIIIISH SLATCH ! AAAAOUUUUURGHHH !!!

_ On parie ?

 

La douleur sur ma cuisse, d’une intensité incroyable, rayonna dans ma jambe et jusqu’à mon aine. Les yeux stupéfiés, je contemplai sans y croire la marque rouge imprimée sur ma peau. Des larmes de douleur me vinrent malgré moi.

 

_ Mais tu es folle !

 

_ T’en veux un autre ?

 

Ses yeux verts de vipère me mettaient au défi, clairement. Mais cette souffrance, je ne voulais pas la connaître une nouvelle fois. Et elle me frapperait jusqu’à ce que je lui obéisse, j’en fus persuadé.

 

_ Non !

 

_ Alors tu avales, sale chien ! cria la gitane. Tout ! Jusqu’à la dernière goutte !

 

Nadia leva encore son espèce de canne maudite et je portai immédiatement la tasse à mes lèvres. Sans chercher à réfléchir, je bus le contenu, peu surpris par l’amertume extrême et la tiédeur de ce liquide.

 

Une fois vide, je rendis la tasse démodée, attentif au moindre changement dans mon organisme. Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre… fus presque déçu de ne rien ressentir de particulier.

 

_ Biiieeeen ! fit la gitane, les mains sur les hanches. On va pouvoir s’amuser pour de bon !

 

_ Il est temps ! souffla sa copine. J’ai la chatte qui me démange depuis qu’on l’a fait juter…

 

Allez, toi ! À genoux !

 

Les choses s’enchaînaient depuis mon enlèvement programmé… J’avais été l'objet d’une « punition » particulièrement odieuse et avait un moment pensé que cela s’arrêterait là. Désormais, la réalité me sautait au visage sans prendre de gants : j’allai demeurer dans ce grenier pour un temps indéterminé. Jusqu’à ce que je parvienne à m’enfuir ou que quelqu’un me retrouve. Pour l’heure, Nadia tenant toujours son terrible bout de bois souple, je devrais obéir.  

Le ventre noué de colère, je m’agenouillai donc face à elles. Moi qui avais toujours pensé que cette posture, tellement galvaudée, n’avait rien de véritablement humiliant, j’en fus pour mes frais. Nu et retenu par un collier à une chaîne, à la manière d’un chien, je voyais mes bourreaux féminins d’une position basse… Leurs regards arrogants et leurs sourires vaniteux me touchèrent d’autant plus. 

Elles relevèrent leurs robes pour me montrer, une nouvelle fois, leurs buissons de poils sombres. J’avais déjà bien vu celui de Nadia, je pus mieux détailler le pubis de la gitane. Tout aussi velu, les poils noirs contrastaient moins sur sa peau bien plus brune. Maria avait également un peu de ventre, contrairement à sa copine. Le nombril très profond se révéla sale.

 

Une odeur de fruits de mer et de pissotière se laissa flairer. Ces filles devaient vraiment très peu se laver ! Je l’avais déjà deviné à l’état de leurs sous-vêtements… Malgré cela, ma verge tressaillit.

 

_ On dirait que nos poilus lui plaisent, souffla Maria.

 

_ Je te dis qu’il est amoureux de nous ! pouffa sa copine. Et je te parie qu’en moins d’une minute, il va bander dur comme un âne !

 

_ On lui montre tout ?

 

_ Mmmmmm… Ouiiiii !!

Par aplaisirs
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 14:23

chap 5

 

 

Devant mes yeux éberlués, elles se retournèrent et se penchèrent en avant, m’exhibant sans aucune pudeur leurs fesses, les ouvrant et, les cuisses écartées, me donnèrent une vue sans pareille sur leurs sexes !

 

  L’odeur que j’avais à peine perçue devint brusquement bien plus intense, plus nuancée. Des relents tièdes de mer, de coquillage… les notes amères et poivrées de leurs anus… des pointes acidulées de sueur et d’urine…

 

La vision s’allia aux parfums puissants, m’hypnotisant littéralement. Je n’avais jamais vu de vraies vulves de ma vie et voilà que j’en découvrais deux de la plus incroyable et obscène des manières. Malgré ma honte et ma colère, je dévorai des yeux ce tableau de chairs et de stupre. Les cuisses fines et blanches de Nadia, son cul d’une pâleur stupéfiante, ouvert sur une raie assez peu poilue, avec un anus mauve qui palpitait, gras et luisant… Et dessous, une longue balafre pourpre, brillante, qui me souriait de travers…

 

À côté, le cul énorme de Maria, joufflu et bronzé… Une vallée très profonde avec plus de poils souillés… Et une chatte moins longue, baveuse, entrouverte sur des chairs rouges. Je voyais nettement des dentelles brunâtres qui dépassaient, humides…

 

Elles se trémoussèrent devant mon visage, s’approchant et m’offrant leur intimité en riant comme deux folles. Je demeurai bouche bée, la verge dure, avec une envie folle de me toucher, de me caresser. Mais je n’étais pas devant un magazine porno… Et ces filles n’étaient pas là pour me satisfaire !

 

_ Le spectacle te plaît, Cricri ?

 

Comme je ne répondis pas à la question de la grande, trop concentré sur ce que je voyais, j’aperçus le visage de Maria qui se retournait… Ses yeux qui descendaient sur mon sexe.

 

_ Je crois que t’avais raison, Nadia ! Ce petit merdeux bande de nouveau !

 

Sa copine tourna également la tête et un sourire gourmand lui vint quand elle contempla mon membre.

 

_ J’en étais sûre ! Merde, j’en peux plus ! Faut que je le baise !

 

_ On le met sur le pieu ?

 

_ Ouais !

 

Encore étourdi par ce que je venais de voir, je n’opposai aucune résistance quand elles me forcèrent à me relever, me poussèrent sur le lit, m’obligèrent à m’y allonger sur le dos. Les ressorts grincèrent sous nos poids respectifs.

 

_ Reste couché ! ordonna Maria.

 

Avec une hâte qui prouvait leur excitation, les deux filles firent passer leurs robes sales et usées par-dessus leurs têtes… se retrouvèrent aussi nues que je l’étais !

 

Ma verge acheva de se dresser entièrement, décalottée, face à la vision de ces deux corps si différents et pourtant tellement excitants malgré la haine et la colère que j’éprouvais toujours.

 

Nadia, fine, blanche, de petits seins presque pointus, deux citrons avec deux framboises au bout, encore plus grosses qu’auparavant. Un ventre plat et un nombril fermé. Et à côté, Maria, plus petite, bronzée, potelée de partout, avec une poitrine bien plus grosse… Deux énormes melons cuivrés avec des mamelons d’un rose très sombre, larges comme des soucoupes…

 

Jamais je n’aurai pensé être aussi émoustillé par la vue des corps dénudés de ces deux garces. Était-ce à cause de cette tisane qu’elles m’avaient fait boire ?

 

_ Je m’en sers la première ! décréta la grande en grimpant sur la couche qui couina horriblement.

 

_ Eh ! C’est pas juste !

 

_ T’as qu’à te faire brouter en attendant ! Ça te changera de ma langue !

 

Nadia semblait déterminée et enjamba mon corps, se plaçant en me toisant de sa haute position. Cet angle me fit apercevoir la longue fente sous un nouveau jour. Le sommet s’évasait sur ce que je supposais être le clitoris… Un ergot nacré, assez gros, qui dépassait des crénelures rouges… Et ces deux seins qui semblaient si fermes, avec leurs tétons durs. J’eus envie de les toucher ! De les caresser ! C’était comme un instinct primaire.

 

 

 

 

Elle s’accroupit rapidement, saisit mon sexe entre ses doigts. Je me raidis, surpris par les frissons de volupté intenses que ce simple contact déclenchait en moi. Et avant que je comprenne, mon gland sensible frôlait sa vulve chaude.

 

_ Je vais le dépuceler, ce petit merdeux ! clama-t-elle à son amie. Tu te rends compte ?

 

Hahaha !

 

Bouche bée, je sentis ma verge s’enfoncer dans un fourreau de chair, brûlant et humide. Une sensation extraordinaire, comme je n’en avais jamais ressentie. Cet étau vivant me serrait délicieusement, de partout en même temps ! Il me prit tout entier, jusqu’au pubis, déclenchant une expression d’extase sur le visage d’ordinaire si vaniteux de Nadia.

 

Poussant sur ses cuisses, elle remonta jusqu’à presque me faire sortir… redescendit à nouveau. Ma verge pulsait par à-coups furieux. C’était sublime, divin ! Je ne cessais de me répéter que ça y était… Je n’étais plus puceau ! Même dans ces conditions, je n’étais plus vierge !

 

_ Je… Je vais pas tenir très longtemps…

 

Nadia montait et descendait lentement, régulièrement, avec un bonheur visible, sur mon membre. Je sentais que ma jouissance viendrait rapidement et j’avais cru bon de la prévenir.

 

Mais, loin de s’en inquiéter, elle ricana juste :

 

_ Je crois pas, Cricri… Tu vas même tenir très… très longtemps !

 

Maria grimpa à son tour sur le vieux lit qui protesta dans des grincements métalliques à n’en plus finir. Mais elle se plaça au-dessus de mon visage.

 

_ Tourne-toi vers moi ! lui suggéra la grande. Comme ça, tu lui colleras ton trou du cul sur le nez et tu pourras m’embrasser en même temps !

 

_ Ouiiiiii ! T’as raison !

 

Demi-tour de la gitane qui avait placé ses pieds nus de part et d’autre de ma nuque. Quand je la vis s’accroupir très lentement, avec sa vulve brillante qui baillait, sa raie sale qui s’évasait et s’approchait de moi, je connus un moment de panique. La tension sexuelle, bien trop forte, allait me faire éjaculer ! Surtout que Nadia poursuivait sa cavalcade.

 

_ Je rigole pas ! lançai-je d’une voix rauque. Ça vient, je vous dis ! Ça vient !

 

Mais je n’eus que leurs rires moqueurs en réponse. Sous mes yeux écarquillés, le fessier énorme et bronzé qui s’ouvrait toujours davantage. La vision de son anus souillé, ses poils maculés de matières fécales… de sa vulve baveuse qui s’épanouissait avec des allures de mollusque. Et les odeurs ! Terriblement intimes, puissantes, enivrantes.  

Je sentis mes testicules remonter dans ma bourse… j'allais jouir !… Mais… Que se passait-il ? La pression de l’éjaculation ne venait pas… Ni l’éblouissement qui accompagnait généralement avec délice le moment de la jouissance… Ma verge, pour dure qu’elle demeura, connut une dizaine de secondes d’insensibilité ! Enfin, je le vécus comme tel. Et voilà que le plaisir remontait, comme au début, quand elles s’étaient exhibées à moi !

 

_ Alors ? me nargua Nadia. J’attends ton foutre, Cricri…

 

Sa voix, transformée par le plaisir, m’annonçait presque que c’était finalement elle qui se trouvait au bord de l’orgasme.

 

_ Ça vient pas ? poursuivit-elle. Pauvre petit toutou… Il n’a pas le droit de faire sa petite giclette !

 

_ Ça veut dire qu’il va rester à moitié puceau, tu crois ? s’exclama alors Maria, dont les fesses demeuraient suspendues ouvertes à moins de dix centimètres de mon visage. Hahaha !

 

_ Faut croire que oui !

 

La gorge nouée autant par le spectacle obscène et les odeurs de l’intimité malpropre de la gitane que par les paroles singulières de mes deux bourreaux, je commençais à réaliser qu’elles ne m’avaient pas menti. Et, sur l’instant, je ne fus pas certain de trouver ça si… dérangeant.

 

J’allais pouvoir « baiser » aussi longtemps qu’il le faudrait ? À la bonne heure ! Quel homme ne rêverait pas d’un tel pouvoir ! Surtout que la chevauchée de Nadia se poursuivait avec de plus en plus d’entrain. Et que mon sexe y prenait sa part de bonheur !

Par aplaisirs
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 14:39

chap 6

 

 

_ Le nez dans mon trou du cul, Cricri ! Renifle ma merde !

 

Brusquement tiré de mes pensées, je fus pratiquement plongé dans le noir. Maria venait de littéralement s’asseoir sur mon visage, s’arrangeant pour que mon nez frotte son anus écoeurant. La puanteur me prit à la gorge plus violemment encore, agressive et amère. Mais une puanteur porteuse de notes qui m’excitèrent malgré moi.

 

_ Sors la langue ! Lèche-moi la chatte en même temps !

 

Je le fis, sans réfléchir, soumis à la loi de l’excitation sexuelle. Ma langue fureta, curieuse, sur les lèvres gonflées et détrempées. À l’aveuglette, bien sûr. Je ne voyais pas ce que je faisais et mes mains caressèrent la peau étonnamment douce de ses hanches.

 

_ Mieux que ça !

_ AÏÏÏEEEE !!

 

Une douleur vive sur la poitrine. La gitane venait de me pincer un téton. J’agitai ma langue avec plus de conviction tandis qu’elle se déhanchait pour s’offrir à mon hommage. Je plongeai dans un véritable four brûlant et glaireux, goûtant des saveurs intenses et inédites. C’était comme de lécher une huître chaude sur laquelle on aurait uriné ! Une image démente, mais ce fut celle qui me vint naturellement !

 

À nouveau, sous le coup d’une excitation terrible, je crus que j’allai jouir. Mon coeur se mit à battre plus violemment, mes testicules remontèrent à nouveau… et une fois encore, je connus ce déstabilisant moment d’insensibilité totale, qui ne dura guère plus d’une douzaine de secondes. Et je retrouvai des sensations proches d’un début de préliminaires.

 

Les gémissements de Nadia se firent de plus en plus intenses et grimpèrent dans les aigus. Maria, elle, servait de moi, de ma langue, se démenait sur mon visage, écrasait mon nez, me contraignait à la lécher, inondait ma bouche de sécrétions grasses et très goûteuses.

 

À un moment, je les entendis qui s’embrassaient à pleine bouche. Je ne pus retenir mes mains, qui grimpèrent vers la poitrine invisible. Je n’y croyais pas, en réalité, pensant que la gitane allait me l’interdire. Au contraire, elle s’offrit à mes doigts.

 

_ Il devient entreprenant, notre petit toutou !

 

Ce fut sa seule remarque tandis que je tâtais puis pétrissais les deux globes de chair tendre et ferme. C’était totalement fou ! Je ne voyais quasiment rien, donnant de grands coups de langue sans trop savoir ce que je léchais… buvais des sécrétions salées en reniflant des odeurs infâmes… pelotais des nichons lourds et jouais avec des tétons enflés… Tout cela en étant chevauché par une Nadia de plus en plus déchaînée.

 

Je ne parvenais plus à réfléchir, me laissais emporter par un torrent de sensations charnelles qui ne se calmait que pour quelques secondes quand l’excitation devenait trop forte, avant de repartir de plus belle.

 

À un moment, les cris d’extase de la grande brune aux yeux de chatte devinrent hystériques et ses coups de reins si brutaux qu’elle me fit vraiment mal. Le lit grinçait et gémissait, les grands ressorts soumis à des contraintes folles.

 

_ Oui ! OUI ! ENCORE ! C’EST LÀ ! MMMMMMMHHH !! OUI ! OUUUUUIIIIII !!!

 

 

La tempête se calma. Encore quelques chevauchements sur mon sexe raide et Nadia se dégagea… L’instant suivant, Maria me libéra de la prison de son fessier énorme. J’étais essoufflé, le coeur battant, les testicules vaguement douloureux.

 

_ À mon tour ! lança la gitane, tandis que sa copine descendait du lit.

 

Et voilà la jolie petite brune potelée qui guidait ma verge dans le vagin que je venais de lécher abondamment. Je la vis entamer la même danse endiablée, ses lourds nichons bruns se balançant voluptueusement devant moi.

 

_ T’as compris ce qu’on attend de toi, maintenant ?

 

Je me tournai vers Nadia, qui renfilait sa robe usée. Elle transpirait et des mèches noires collaient sur son front ruisselant. Je fronçai les sourcils, essayant de décortiquer sa question.

Elle eut soudain un large sourire moqueur.

 

 

Hahaha ! Si tu voyais ta tête ! T’es rouge de partout, t’as de la merde sur le nez et la bouche toute enflée… Et pleine de mouille !

 

Maria pouffa à son tour, accélérant le rythme, m’amenant une fois encore (la cinq ou sixième fois) à l’orée d’une jouissance. Et je voulais jouir, à chaque fois un peu plus fort ! Mais l’éjaculation ne venait pas ! Mes testicules remontaient, me faisant mal… Puis redescendaient  dans ma bourse de peau… et l’excitation revenait, en même temps qu’une frustration grandissante.

 

_ C’est… C’est horrible ! parvins-je à dire.

 

Mon expression, loin de les apitoyer, les fit rire à nouveau avec cette joie cruelle dont elles semblaient avoir le secret. Nadia passa une langue gourmande sur ses lèvres si pleines.

 

_ Ouais, on sait… Hahaha ! On te l’a dit : tu vas rester ici… Dans ce grenier… Tu vas nous servir de joujou sexuel ! On te baisera comme on voudra ! Tu nous lécheras partout ! Tu feras tout ce qu’on te dira de faire ! Et si tu es sage et obéissant, on te donnera à manger et à boire…

 

_ Mais si tu fais ta forte tête, poursuivit la gitane qui se caressait maintenant les seins en me « baisant », t’auras droit à des coups de canne et rien à bouffer !

 

Une boule d’angoisse venait de se former dans ma gorge. Mon coeur battait maintenant fort depuis un bon moment, sans ralentir. Je venais de comprendre quelle serait ma vie, désormais, si je ne trouvais pas un moyen de me sortir de ce guêpier. Elles comptaient me retenir prisonnier dans ce lieu et se servir de moi comme d’une poupée gonflable vivante. À cause de leur satané drogue, je ne pourrais pas éjaculer et resterais dur pour leur unique plaisir… tandis que la frustration finirait peut-être par me rendre fou ! Ce que j'avais d’abord considéré comme un cadeau inestimable se révélait être une malédiction ! C’était comme de mourir de faim, de manger sans cesse et de ne jamais être rassasié !

Par aplaisirs
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 18:24

chap 7

 

 

Nadia ramena une chaise près du lit et s’y installa, se penchant pour me contempler tandis que sa copine prenait son pied. Je ne vis que de la détermination dans ses prunelles vertes… ainsi qu’un plaisir sadique face à ma peur.

 

_ Bien sûr, reprit-elle d’une voix sucrée, tu feras encore d’autres choses… On va beaucoup s’amuser, tu verras ! Et puis, tu vas t’occuper de ta nouvelle niche… La nettoyer et la garder propre… Tu feras aussi notre linge…

 

_ On a pas de machine à laver, poursuivit Maria en se trémoussant, aspirant ma verge au fond de son vagin. Tu feras tout à la main, ici ! Et pour nos culottes et nos collants, tu devras faire un prélavage avec ta langue ! Mmmmmmm !

 

 

Nadia eut un drôle de sourire en acquiesçant. Elle passa une main dans mes cheveux et murmura :

_ T’as pas besoin qu’on te fasse un dessin, hein ? Faudra lécher là où c’est trop sale… Et une fois que tu seras bien dressé, faudra aussi que tu commences à nous rapporter du pognon…

 

_ Co… comment ça ?

 

_ Ah ! Surprise ! Tu verras ça en temps voulu, Cricri !

 

_ Mmmmm ! Oui ! Ça vient ! Oh, putain ! C’est vraiment génial d’avoir une vraie queue dure qui peut pas gicler ! Ôôôôôhhhhmmm !!

 

 

J’eus l’impression d’un déjà-vu… et la sensation cauchemardesque que ce déjà-vu allait devenir récurrent ! Maria accéléra à son tour tandis qu’une fatigue languissante tétanisait mes muscles. Je ne faisais pourtant pas grand-chose. Je subissais avant tout. La jolie gitane potelée se déchaîna elle aussi, sans honte ni pudeur, pétrissant sa lourde poitrine, se mordant la lèvre, fermant les yeux et gémissant comme une damnée en extase.

 

_ Oui ! HOOOOOOO ! OUUUUIIIII !! MMMMHHHHH !!!

Ma verge était pompée et j’y trouvais un plaisir fort… Mais un plaisir qui serait névitablement tronqué par une éjaculation bloquée. J’en pris pleinement conscience à cet instant et la peur me fit me poser mille questions : est-ce que c’était définitif ? Est-ce que je pourrai débander ? Est-ce que mon coeur supporterait longtemps ce traitement ?

Maria se raidit soudain puis s’affala sur moi. J’aurai dû jouir, là encore… La frustration venait de monter d’un cran. Pourtant, alors que j’allai crier ma colère et ma rancoeur, la gitane me déposa un baiser au coin des lèvres, surprenant de tendresse !

 

_ C’était bon, souffla-t-elle avant de se dégager. Merci, Cricri !

 

J’en restai muet de stupéfaction. Elle avait eu l’air sincère. Je la regardai remettre sa robe. Elles se dirigèrent ensuite vers la trappe. Nadia se retourna dans ma direction et dit avant de disparaître dans le trou :

 

_ Tu as bien mérité ta gamelle ! On te l’amène tout à l’heure !

 

Un chien. Voilà comment elles me considéraient. Un chien qu’elles allaient dresser…

 

Une quarantaine de jours, à peu près. J’avais cessé le compte exact à 18, le soir où j'avais perdu tout espoir qu’on vienne me chercher. Une quarantaine de jours à vivre nu, dans ce grenier, attaché à une corde comme un clébard à sa niche. Une quarantaine de jours et autant de nuits passées sur ce vieux lit sale et grinçant sur lequel les deux garces me forçaient à les baiser, à leur manière… pour leur plaisir…

 

J’avais eu le temps de découvrir un certain nombre de choses, d’en comprendre d’autres. Tout d’abord concernant cette mixture que j’étais obligé de boire très régulièrement. Les effets duraient une dizaine d’heures avant de s’estomper. Elle empêchait principalement l’éjaculation. Je mettais plus de temps à ramollir lorsque je bandais et qu’elles en avaient fini avec  moi. J’avais également eu la preuve de son efficacité sur la santé puisque je n’étais pas encore tombé malade, malgré les épreuves et les souillures endurées.

 

Je n’avais pu (ou plutôt eu le droit) de jouir que deux fois depuis mon arrivée.

Maintenu sur le lit, masturbé et caressé alors que je n’avais pas pris la mixture… Deux éjaculations monstrueuses, qui m’avaient fait m’évanouir. Sinon, je devais avaler leur satané drogue matin et soir. Lorsque je refusais, les coups de canne pleuvaient.

 

Elles me nourrissaient, oui… Des restes de leurs repas pris dans leur cuisine. Le tout dans une écuelle pour chien… sans couverts. Je devais manger avec les doigts, boire dans une autre écuelle. Et ça, c’était quand elles étaient contentes de moi. Lorsque je désobéissais ou que je rechignais, j’étais simplement privé de nourriture et recevais des coups.

 

Je n’avais trouvé aucun moyen de fuir et m’étais résigné à mon triste sort. Le collier ne s’ouvrait pas… La corde était trop épaisse pour espérer la trancher sans couteau… L’anneau  trop bien riveté au sol. Je ne pouvais atteindre la fenêtre ni aucun objet susceptible de m’aider.

 

Mon quotidien se résumait à des tâches avilissantes, des séances de baise, du rangement. Elles exigeaient que l’endroit fut toujours propre… Elles m’imposaient une nudité permanente, peu ennuyeuse en fin de compte à cause de la chaleur constante qui régnait ici. J’avais pour mission de laver leurs vêtements à l’aide de deux bassines remplies d’eau et d’un gros savon de Marseille. La première bassine pour le lavage, la seconde pour le rinçage… L’étendage, elles s’en occupaient. Mais elles n’avaient pas plaisanté concernant leurs sous-vêtements sales

 

 je devais lécher les renforts des culottes souillées, sucer les parties les plus immondes de leurs collants. C’était là un de leurs grands plaisirs. De même, elles venaient régulièrement me donner à « décrasser » les parties les plus malpropres de leurs corps. Ma langue passait donc régulièrement sous leurs aisselles, entre leurs orteils, dans leur vagin et leur anus. Elles adoraient les longues séances d’humiliation avant de passer au sexe.

 

Comme je ne pouvais éjaculer et qu’elles savaient comment me faire rester dur, j'étais véritablement devenu leur jouet. Mais que je les prenne en levrette, en missionnaire ou en brouette, que je passe une heure sur une séance de broutage de minou ou de feuille de rose, qu’elles me fassent l’amour en même temps ou l’une après l’autre, j’étais inévitablement le dindon de la farce. Rapidement, j’avais compris que tout cela m’épuiserait physiquement autant que moralement.

 

Mon coeur cognait dur pendant parfois trois ou quatre heures. Bien que je fus jeune, je savais que cela aurait des conséquences, tôt ou tard. Quelque chose me faisait pourtant tenir. Une chose que je refusais de m’avouer mais qui me hantait sans cesse. Malgré leur cruauté, leur marginalité et leur vice, Nadia et Maria occupaient mes pensées en permanence. J’aimais leurs corps, j’aimais ce qu’elles véhiculaient…Une haine tenace brûlait dans mon esprit, parce qu’elles me retenaient contré mon gré, m’infligeaient des humiliations et des sévices… Mon coeur, pourtant, semblait vouloir leur donner raison : j’étais, d’une certaine manière, amoureux d’elles. Mais un amoureux qui ne pourrait pas avouer ses sentiments, en aucune manière !

 

Ce matin-là, j'étais allongé au pied du lit… léchant les pieds pâles de Nadia, embrassant ses longs orteils, avalant la poussière incrustée dans ses talons. Maria jouait négligemment avec ma verge tendue, installée entre mes cuisses écartées. Elles n’avaient plus besoin de m’attacher pour ce genre de choses, ni de me menacer. J’obéissais presque avec plaisir ! Peut-être était-ce dû à l’abus de cette drogue qu’elles m’obligeaient à boire…

Par aplaisirs
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 18:28

chap 8

 

 

BOM ! BOM ! BOM !

Des coups à la porte d’entrée. Une visite ! C’était la première fois que cela arrivait depuis que j’étais retenu dans ce grenier. Curieusement, un sentiment de peur et d’affolement me gagna.

_ Déjà ? grommela Nadia en retirant ses pieds de mon visage. Il est pressé, on dirait !

 

Maria se leva et commença à se diriger vers la trappe.

_ Je vais lui ouvrir… Toi, tu t’occupes d’installer Cricri !

Depuis des jours, je m’étais enferré dans une routine rassurante. J’obéissais à mes deux bourreaux et je recevais à manger. Je m’occupais de mon coin de grenier, de mes petites

tâches ingrates et j’étais baisé régulièrement. Voilà brusquement que ce train-train déraillait.

 

_ Qu… Qu’est-ce qui se passe ? Qui c’est ?

_ Chuuuuut ! Tu le sauras bien assez tôt ! Lève-toi et couche-toi sur le plumard !

 

Nadia ne semblait pas surprise de cette visite, plutôt de l’heure à laquelle elle survenait. J’avais pris l’habitude d’accepter immédiatement le moindre des ordres que me donnaient l’une ou l’autre. “Donne ta queue !” “Lèche ça !” “Debout !” “À quatre pattes !” “Montre ton cul !” Je ne réfléchissais même plus, essayant simplement de ne pas non-jouir trop vite car cela me donnait finalement des pointes cardiaques à répétition.

 

Je m’allongeai sur ma couche, vaguement conscient que Maria avait changé le drap la veille au soir pour la toute première fois. Y avait-il un lien ?

 

_ Passe tes mains entre les barreaux !

Je fis ce que me demandais la grande, étonné de constater qu’elle liait mes poignets aux barres supérieures du lit avec de la corde. Deux noeuds exécutés rapidement.

_ Qu… Qu’est-ce que tu fais ?

_ Tu le vois bien : je t’attache !

 

Fronçant les sourcils, je cherchai à comprendre. Voilà plusieurs jours que les liens n’étaient plus du tout nécessaires.

 

_ Ce n’est plus la peine, tu sais…

_ C’est pas pour nous, cette fois ! Écarte les jambes !

 

Elle contourna le lit et lia un autre bout de corde à l’une de mes chevilles, qu’elle relia au montant métallique du bas.

_ C’est pour qui, alors ?

 

Je n’avais plus qu’une jambe de libre quand elle concéda à me répondre avec un sourire ironique :

_ On t’avait dis que tu allais nous rapporter du fric… Ce matin, tu reçois ton premier client ! Hahaha !

 

Ses doigts agiles jouèrent autour de mon autre cheville tandis que je tentais de coller une explication cohérente sur les paroles entendues. Je n’y parvins pas avant de me retrouver attaché en croix, totalement nu, sur mon lit. Et d’une manière plutôt restrictive !

 

_ Mon premier client ? Mais… pour faire quoi ?

 

Nadia explosa littéralement de rire, me contemplant comme si elle ne croyait pas ce qu’elle entendait.

 

_ Hahaha ! T’es vraiment idiot ou quoi ? À ton avis, ligoté à poil comme tu l’es, il vient pour quoi ?

 

Les yeux ronds, je compris alors. L’évidence gifla même mon esprit…immédiatement suivi par un sentiment d’horreur :

_ C… C’est un homme ? Mais… Non ! Je ne veux pas !

_ Personne te demande ton avis ! Hahaha ! En tout cas, il est pressé de te voir… ou de t’avoir, plutôt ! Il nous embête depuis presque un mois… et tous les jours !

 

Le sentiment ignoble d’une trahison me noua la gorge. Je n’avais jamais envisagé que leur moyen de gagner de l’argent à travers moi serait, en quelque sorte, de me prostituer. J’avais pensé que je ne leur servirai que de jouet sexuel à elles… et y avait trouvé une sorte de contentement inexplicable.

 

Un coup d’oeil à la fenêtre lointaine m’informa que le brouillard était plus dense que de coutume. Un mauvais augure ?

 

_ Bon, on va lui faire bonne impression, t’es d’accord, Cricri ?

 

_ Non !

La grande brune aux yeux de vipère partit dans son rire joyeux si naturel dès qu’il s’agissait de me dégrader. Puis, s’installant à côté de moi, elle commença à me masturber pour relancer une érection déclinante. Je débandais beaucoup moins vite à cause de la drogue mais si je ne me touchais pas et ne pensais à rien, en une dizaine de minutes je pouvais être tout à fait mou.

 

_ Arrête !

_ Depuis quand tu donnes les ordres, Cricri ? Tu veux que je te la torde ?

 

J’étais tellement en colère que je faillis répondre quelque chose qui m’aurait coûté une vive douleur… inutilement ! Mais je me mordis la langue en entendant un bruit de conversation et  les craquements familiers de l’échelle qui servait à grimper dans ce grenier. Cette voix d’homme… je la connaissais !

Lorsque la tête apparut, front haut et dégarni, couronne de cheveux gris, lunettes rondes, je crus avoir un arrêt cardiaque ! Monsieur Piemare… le voisin de mes parents et l’un des adjoints du maire ! Un type d’une cinquantaine d’années, qui m’avait toujours regardé d’une drôle de manière ! Un type que j'avais soigneusement évité à chaque fois que je l’avais pu !

 

Maria le suivait et je n’avais pas pu articuler un son quand ils se retrouvèrent devant moi, les filles ricanant sournoisement et l’homme en costume me dévorant des yeux, les prunelles rondes comme des billes.

Par aplaisirs
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 18:35

chap 9

 

 

_ Ça vous convient, m’sieur Gilbert ?

_ Oh oui ! C’est vraiment excellent, Maria ! Je n’avais pas imaginé mieux !

_ OK ! reprit Nadia. Vous le voulez pour combien ? Une heure ? Deux ? Plus ?

 

Elle me monnayait ! Comme si je n’étais qu’une prostituée et elle une sorte de mère maquerelle.

 

_ Je dirai que deux bonnes heures devraient suffire pour cette première rencontre ! Je veux juste bien faire connaissance avec lui ! Si vous saviez, depuis le temps que je rêve de l’avoir à  

disposition, comme ça, tout nu… et attaché !

_ Monsieur Piemare… Non !

 

Une supplique dans le vent. Il était venu pour cela, allait payer pour cela. Et je connus même le tarif :

_ Alors, c’est trois cents francs ! Payable d’avance et non remboursable !

 

Je n’arrivais toujours pas à le croire. Le type, plus âgé que mon père, notable soit disant  respectable du village, sortit un vieux portefeuille brun de la poche intérieure de sa veste de costume désuète… en tira trois billets craquants de cent francs… les tendit à Nadia qui s’en  empara avidement.

 

_ On vous laisse ! lança-t-elle alors avec une joie féroce devant mon air terrifié. Z'aurez qu’à descendre quand vous aurez terminé, m’sieur Gilbert !

_ Et nous l’abîmez pas, hein ? crut bon de préciser la gitane. On en a encore besoin !

 

Elles tournèrent talons et entreprirent de redescendre à l’étage du dessous. Ceci malgré mes implorations pitoyables :

 

_ Nadia ! Maria ! Non ! Revenez ! Ne me laissez pas !

 

Quand la trappe se referma, je sus que mon sort de la matinée était scellé. Elles m’avaient bel et bien loué à ce vieux pervers ! Il me fixait de ses yeux ronds, derrière ses lunettes.

Sa bouche molle luisait de salive. Il y avait cet éclat fiévreux dans ses prunelles, qui me fit comprendre qu’il prenait déjà son pied… dans sa tête ! Je tentai pourtant ma chance :

 

_ Monsieur Piemare ! Par pitié, détachez-moi et sortez-moi d’ici !

Il s’installa à côté de moi, sur le lit, faisant grincer les ressorts sous son poids  conséquent. Aucun son ne sortit de sa bouche. Cela m’encouragea.

 

_ Elles me retiennent prisonnier, monsieur Piemare ! Mes parents doivent s’inquiéter !

 

Aidez-moi !

_ Non, je te rassure, mon petit Christian… Tes parents ont bien reçu ta lettre… Ils sont très contents pour toi, tu sais…Je demeurai stupéfait. Il était au courant pour la lettre !

 

_ Comment est-ce que vous savez que…

 

_ Disons que j’ai aidé Nadia et Maria à préparer ce petit piège pour t’attraper… Tu sais, c’est grâce à moi qu’elles peuvent vivre gratuitement dans cette maison… Et c’est moi aussi qui ait fait procéder à l’isolation de ce grenier. Une excellente isolation phonique, d’ailleurs !

 

La gorge nouée, j’essayais de bien comprendre ce qu’il était en train de m’avouer sur un ton de conversation banale.

 

_ Vous… Vous les avez aidées à me piéger ? Mais… Pourquoi ? Je ne vous ai jamais rien fait!

 

_ Ce n’est pas entièrement vrai, Christian… Il faut que tu saches que j’adore jouer avec de beaux jeunes hommes. Tu me fais bander depuis un certain temps, tu sais ? Et maintenant que je suis assuré que mes petites protégées te tiennent bien en cage, on va se revoir souvent !

 

Ses yeux glissèrent sur mon corps dénudé, s’attardèrent sur ma verge tendue.

_ Belle queue, fit-il avec un soupir immonde. Je sais qu’elles te donnent de la tisane… Et que tu ne pourras pas jouir avant plusieurs heures. Je vais donc pouvoir pleinement profiter du temps que j’ai payé. Mais là aussi, il faut que je te rassure. À l’avenir, je ferai régulièrement tes vidanges…

 

Il parlait de sa voix traînante, presque baveuse ! Avec cet horrible timbre complaisant qui m’avait donné la chair de poule dès notre première rencontre ! Quand je vis sa main approcher lentement de mon sexe, je me débattis dans mes liens, si serrés que je ne pouvais quasiment pas bouger.

 

_ Ne me touchez pas ! Vous êtes fou !

 

Un sourire fat répondit à mon ordre tellement vain. Ses doigts boudinés pianotèrent de mon gland jusqu’à mes testicules, déclenchant des frissons d’horreur et des chatouilles.

 

_ Tu n’as pas bien compris, mon petit Christian… Tu es à moi pour deux heures… Je peux te faire tout ce que j’ai envie ! Et si tu n’es pas très obéissant quand je te demanderai certaines faveurs, sache que ce sera Nadia qui te punira. À coups de canne sur tes jolies couilles ! Alors réfléchis bien aux paroles que tu prononceras et aux actes que tu feras…

Par aplaisirs
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 18:49

chap 10

 

La menace n’aurait pu être plus claire. Je connaissais parfaitement la canne de Nadia et sa manière de s’en servir. Un seul coup sur mes testicules les feront exploser dans leur sac de peau ! Un désespoir sans nom s’empara alors de moi et je ne pus réprimer un sanglot dans ma gorge.

 

_ Par pitié, nooooooon ! Laissez-moi tranquiiiiiiiiille !

_ Oh oui, Christian… J’aime quand on me supplie ! Et si on commençait à s’amuser, tous les deux ?

 

_ Non ! Je ne veux pas !

_ Ton joli zizi me dit le contraire… Mmmmm… Oui ! Je vais commencer avec lui et tes bouboules…

Le souffle rauque de monsieur Piemare attestait autant que ses yeux exorbités ou sa bouche de plus en plus humide de l’excitation intense qui s’était emparé de lui. Et cette façon de me parler, comme à un attardé !

Je n’eus plus l’occasion d’argumenter. Le vieux pervers venait de commencer ses caresses abjectes sur mon sexe et mes testicules. Ses doigts me chatouillèrent et me branlèrent d’une manière parfaitement répugnante ! Il savait exactement comment faire pour que je réagisse entre horreur et plaisir malsain. Les attouchements très légers de ses deux mains brouillèrent mon esprit au point que je ne pus rien faire d’autre que supplier entre deux rires chatouillés. Ligoté comme je l’étais, si serré, je ne pouvais strictement rien empêcher et tout juste remuer du bassin sur quelques misérables centimètres carrés.

 

_ Mmmmmm oui… Regarde comme ton zizi est bien dur… comme il aime ce que je lui fais !… Comme il danse sous mes doigts !

_ Hihihihaaahaha ! Pitié ! Non ! Hahahaahiiiiiiihouahaha ! Non ! Stop ! Houhahahaa ! C’est trop horrible !

_ Oh oui, je sais… On va faire durer ça longtemps, mon petit chéri ! Hein ?

_ Non ! Non ! Hihiaahahahaah ! Arrêtez ! Hahahahaha !

 

Mon coeur battait à tout rompre sous les terribles caresses, si horripilantes et si horriblement excitantes. Il alternait les chatouilles sous mon scrotum et à la base de mon anus avec des caresses plus franches sur mon membre puis pianotait de nouveau sous mon gland découvert, déclenchant de nouvelles réactions incontrôlables qui me poussèrent au bord de l’hystérie. Je ne pouvais rien faire ! J’étais totalement en son pouvoir !

 

_ Je parie que Nadia et Maria ne te font pas ce genre de choses, pas vrai ? Mais moi, je te le ferai à chaque fois que je viendrai !

Je riais et me débattais, irritant la peau de mes poignets et de mes chevilles. C’était insupportable.

 

_ Oôôhhhh ! Regarde comme ton bout est mouillé ! Tu en mets partout sur ton ventre !

D’un index gras, il recueillit un peu de liquide et l’étala sur mon membre raide tout en continuant son jeu immonde ! Puis, il recommença ses chatouilles et ses caresses, m’entraînant dans une spirale de plaisir tordu. Combien de temps cela dura-t-il ? Une dizaine de minutes ? Plus peut-être… Quand enfin il consentit à arrêter, j’étais totalement en nage, le souffle court et l’esprit vide. Cette expérience serait parmi les plus traumatisantes de ma vie, j’en fus convaincu. Et ce sale vieux pervers se proposait de la rééditer régulièrement !

 

_ C’est étrange, quand même, les vertus de cette tisane… Je pourrai te branler pendant une heure et rien ne sortirait ?

 

Je sentis soudain la poigne de sa main droite se refermer sur mon pénis tendu à l’extrême. Voilà qu’il se mettait à me masturber pour de bon. Émoustillé comme je l’étais, la tension de la non-jouissance ne tarda pas à exploser.

 

_ Non ! Arrêtez ! Aâââârrrhhhhggg !!!

 

L’insensibilité, pour une poignée de secondes. Mais accompagnée de ces tambourinements dans la poitrine. Combien de temps mon coeur pourrait-il supporter cela ?

_ Tu as eu ton frisson ? C’est ça ?

Je sentis une curiosité sincère dans sa voix. J’opinai en reprenant un peu mon souffle. Il me lâcha alors et observa mon sexe, qui ne débanda pas un instant.

_ Qu’est-ce que ça fait, exactement ?

_ C’est… c’est comme de… de… comme quand on le fait normalement… Sauf que… près… ça… c’est…

_ Après, tu restes excité… C’est ce que tu veux me dire, mon petit Christian ?

_ Oui…

_ Extraordinaire, vraiment !

S’il savait à quel point ça ne l’était pas. S’il savait à quel point c’était vite une frustration des plus insupportables, de ne pas pouvoir éjaculer comme on le voulait !

Ses caresses redevinrent rapidement efficaces. L’insensibilité s’effaça au profit des chatouilles et des agacements, qui me firent à nouveau danser lascivement du bassin.

_ Mmmmm… Je crois que je ferai beaucoup d’expériences très intéressantes avec toi ! Peut-être que je te louerai pour une journée complète et je verrai combien de fois je peux te donner ton frisson en 8 ou 10 heures !

Mes yeux s’arrondirent d’une terreur non feinte. Il arrivait à Maria et Nadia de s’amuser avec moi trois ou quatre heures d’affilées et j’en sortais toujours totalement épuisé. Alors une dizaine d’heures risquait de me tuer !

Monsieur Piemare ne remarqua cependant pas mon effroi, s’étant penché en avant tout en jouant distraitement avec ma verge. Il commença à picorer mes tétons durs avec des baisers humides. Baveux, même ! Lorsqu’il réalisa que j’étais plutôt sensible, il pointa sa langue  glaireuse et entreprit une nouvelle interminable séance… de grignotage, cette fois !

À nouveau, je me débattis, éraflant un peu plus ma peau, suppliant, riant, criant et pleurant suivant ce que me faisait endurer la bouche molle de ce pervers sur mes deux tétines. Il me masturbait en même temps, mais sans chercher à m’amener à l’ersatz de jouissance.

Quand il eut terminé, mes bouts avaient doublé de volume et prit une teinte presque violacée. Des marques de dents comme de succion se devinaient sous la couche de salive immonde.

J’étais encore plus essoufflé qu’auparavant, un sentiment de désespoir m’étreignant si fort la poitrine que je songeai même au suicide ! Juste une fraction de seconde, parce que le plaisir malsain engendrée par la tisane et ma condition m’habitait toujours.

_ Tu es vraiment délicieux ! Exactement comme je l’avais imaginé !

Ses yeux fous brillaient derrière ses lunettes. D’un véritable éclat de démence perverse ! Un regard à faire peur !

_ Dommage que je ne puisse pas t’emmener chez moi… Encore que… Si je t’achetais à mes deux petites chéries… Je t’attacherai dans ma cave… Tu serais à moi… Je pourrai m’amuser avec toi tous les soirs, en rentrant de la mairie… Non ! Ce serait trop dangereux ! Il vaut mieux que tu restes ici !

Il se parlait à lui-même ! Et dire qu’il avait envisagé que je puisse devenir sa poupée sexuelle à domicile !

_ Et si je goûtais à ton zizi ? Hein ?

J’étais au-delà de tout sentiment compréhensible. Le dégoût, la peur, l’excitation et l’horreur se mêlaient pour former un bloc qui cognait dans ma cage thoracique avec une violence inouïe. La bouche entrouverte, je contemplai le sommet de son crâne dégarni qui descendait vers mon sexe tendu. Une main caressa mes testicules, faisant tressaillir ma verge. Et puis, l’haleine chaude sur mon gland… la langue qui goûta la perle translucide sur mon méat… qui s’enroula sous la corolle en me procurant des frissons indéfinissables… les lèvres molles et tièdes se refermant sur ma hampe…

Il me suça ! Il me suça langoureusement, amoureusement ! En me chatouillant les couilles et en me branlant de temps en temps !

 

Par aplaisirs
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Mercredi 13 janvier 3 13 /01 /Jan 19:00

chap 11

 

_ C’est dégueulasse ! m’entendis-je soupirer à un moment. Arrêtez !

Lui soufflait fort, respirait comme un boeuf. Il cessa un instant, se redressa et me toisa avec une cruelle ironie.

_ Arrêter ? Hahaha ! Tu plaisantes, mon mignon ? Ton zizi est à moi ! Ton corps entier est à moi ! Je peux faire ce que je veux ! Tu m’entends ? Tout ce que j'ai envie !… Et puis, tu as l’air d’aimer ce que je te fais, petit menteur ! Tu bandes comme un âne !

_ Non ! Ce n’est pas ma faute !

Il ricana et remonta ses lunettes sur son nez.

_ Il va falloir t’y habituer, mon joli ! Là, ce n’est que notre premier rendez-vous, histoire de

faire mieux connaissance…

Il replongea sur mon sexe, le goba tout entier. Monsieur Piemare me fit alors une fellation incroyable. Un doigt s’insinua entre mes fesses. J’eus beau essayer de les serrer, il parvint à pénétrer mon anus, trempé de sueur malodorante.

_ Aïïïeee !! Ça fait mal ! Je… Non… Arrêtez ! Stop !

Tout en continuant à me sucer, il s’était mis à faire aller et venir son doigt dans mon rectum, lentement, avec un vice que je perçus tout de suite comme habituel. Il massa une région spécifique en moi, m’amenant très vite au bord d’une nouvelle non-jouissance, faisant battre mon pauvre coeur de plus en plus fort.

Quand, au bout de plusieurs longues minutes, son autre main se mit à agacer un de mes tétons en même temps, c’en fut trop ! Une lumière éclata dans mon cerveau ! Ma verge pulsa comme sous l’effet d’une masturbation invisible ! Et tout mon être fut traversé par une sorte de courant électrique de plaisir !

Je m’entendis encore crier et râler avant de sombrer dans une sorte de demi inconscience.

Combien de temps étais-je resté dans cet état presque comateux ? Mystère. Mais quand je rouvris les yeux, j’eus la vision ignoble de la verge de monsieur Piemare devant mon visage. Je bandais toujours.

_ Ah ! Tu reviens enfin à toi !

Son sexe dur possédait une pâleur maladive et émergeait d’un buisson de poils grisonnants. Assez longue, légèrement courbe, parcourue de veines bleues disgracieuses, elle ne me parut guère épaisse. Surtout, son gland rouge effilé et malpropre me laissait deviner une odeur pisseuse très piquante.

_ Il ne nous reste plus beaucoup de temps aujourd’hui, mon mignon ! Comme tu n’es pas dans la bonne position pour que je t’encule ou que tu puisses me sucer correctement, on va faire autrement !

Le voilà qui grimpait sur mon lit. Les ressorts couinèrent à nouveau, vieux compagnons de mon infortune. Lorsqu’ils hurlaient, je savais que j’allais « passer à la casserole » d’une manière ou d’une autre.

Il avait retiré ses chaussures et son pantalon mais avait gardé sa chemise. Il me chevaucha la poitrine, approchant son sexe tendu de mon visage.

_ Tu vas ouvrir la bouche et je vais m’en servir comme d’un vagin… et jouir dedans !

Le gland sale effleura la peau de mon menton. Un long frisson me parcourut, me donna la chair de poule.

_ Non… Pitié, monsieur Piemare… Pas ça…

_ Tu préfères que j’appelle Nadia pour qu’elle s’occupe de tes couilles à sa douloureuse manière ?

 

Il me laissa le temps de la réflexion, bien certain que j’allais obéir. Et, bien sûr, j’ouvris la bouche. Avec un soupir de plaisir infâme, il se démena au-dessus de moi pour venir mettre son gland pisseux sur ma langue.

_ Ouiiiii ! C’est bien, Christian… Maintenant, tu ne bouges plus ! C’est facile, tu n’as rien à

faire… Tu devras juste avaler mon sperme…

De nouvelles larmes d’humiliation m’empêchèrent de bien voir. Qu’étais-je donc  devenu ? Une poupée pour un vieil homosexuel pervers… Une poupée dans laquelle il allait se vider.

_ Attention ! Je ne veux pas sentir tes dents ! Que ta langue et tes lèvres !

Je fis encore mon possible, la peur d’une douleur insoutenable me tordant le ventre.

Car, s’il recourait à Nadia pour me punir…

Ce fut à son tour d’entamer une abjecte danse des hanches. Sa verge pénétra ma bouche, en ressortit presque, y retourna, glissant sur ma langue, y déposant son arôme d’urine et de

sueur.

_ Sers un peu les lèvres, mon chéri !

Je compris en obéissant à ce dernier ordre qu’il n’avait pas menti. Il se servait vraiment de ma bouche comme d’un vagin. Ce fut le début du plus pénible des sévices qu’il m’infligea. Il ne me touchait plus la verge et, de fait, j’avais pleinement conscience de ma déchéance.

 

Quand ses soupirs devinrent plus profonds, ses râles de plaisir malsain plus  horripilants, l’envie de le tuer me reprit. Mais j’étais attaché, à son entière merci. Contraint d’être violé par la bouche dans ce lent et abject va et vient, contraint d’écouter les délires qui accompagnèrent ses instants de bonheur immonde :

_ Mmmmm… Oui, Christian… Comme ça… C’est bien, ma petite pute ! C’est ce que tu vas devenir… Ma petite pute soumise, que je viendrai visiter quand j’en aurai envie !… Tu seras tout le temps attaché, avec moi ! Mais pas toujours dans cette position… Là, on fait juste  connaissance…

La prochaine fois, j’enfoncerai mon gros zizi dans ton petit trou du cul serré !… Et on fera plein de choses, ensemble ! Je te caresserai des heures, partout, jusqu’à ce que tu n’en puisses plus… Je te ferai embrasser mon cul… Je te chatouillerai les pieds en t’obligeant à lécher les miens… Je te ferai vénérer ma bite en jouant avec tes tétines… Je… Oôôôôôhhhh ! Je… Jouiiiiiiis !!

Sa verge pulsa dans ma bouche et, soudain, une purée brûlante et terriblement salée heurta ma luette, manquant m’étouffer. Je voulus recracher son membre qui continuait à déverser sa semence mais monsieur Piemare garda sa position en râlant, en bavant sur mon visage, les yeux révulsés. Je ne pus rien faire d’autre que déglutir, encore et encore, avalant son sperme et parachevant mon humiliation. Un sac à foutre, voilà ce que j’étais devenu !

 

 

Piemare partit, Nadia et la gitane étaient revenues pour me détacher, hormis le collier. Mes poignets et mes chevilles conserveraient longtemps les éraflures et les rougeurs. Je fus

cependant étonnée de les voir me passer une pommade pour apaiser la brûlure.

_ On devrait protéger sa peau avec un tissu, tu crois pas ? demanda Maria à sa copine qui venait de terminer de me « soigner ».

_ Oui… Il m’a dit qu’il viendrait deux ou trois fois par semaine… Tu as raison, ça vaudra

mieux.

La gorge nouée, je réalisai que les promesses de l’adjoint au maire n’avaient pas été du vent. Je me sentis blêmir et osai une supplique illusoire :

_ S’il vous plaît, non… Dites-lui de ne pas revenir !

Nadia me décocha une gifle magistrale.

_ Pas revenir ? Tu rigoles ou quoi ? Tu as vu le fric que tu nous as rapporté en deux heures ?

Il viendra aussi souvent qu’il voudra, t’entends ? Et toi, tu feras tout ce qu’il voudra !

Je portai la main à ma joue endolorie. Le piège achevait de se refermer sur moi comme je comprenais la véritable raison de ma présence. Je n’avais vraiment cru qu’à une vengeance, au départ…

_ Ce sera pas ton seul client, d’ailleurs ! renchérit Maria en me crachant au visage. Tu vas

nous rapporter du pognon ! Beaucoup de pognon ! Tu feras la pute pour qui on te dira ! Que ce soit pour un mec ou une nana !

D’autres clients ? Des hommes et des femmes ? Que je connaissais peut-être…

Nadia confirma cette crainte immédiatement :

_ Ta prochaine cliente viendra en soirée ! C’est la grosse Berchand !

_ Qu… quoi ? bégayai-je. Ma… madame Berchand, la… la boulangère ?

_ Ouais !

Je n’en revenais pas ! Je connaissais cette femme depuis longtemps, maintenant. « Grosse » était un terme parfaitement adéquat, en conformité avec sa corpulence. Je ne l’avais jamais apprécié non plus. Visage antipathique, yeux de fouine, dents gâtées par l’abus de sucreries…

Devant mon expression abasourdie, les deux filles éclatèrent de rire. La gitane en rajouta :

_Elle viendra pour 8 heures ce soir… Elle va payer pour quatre longues heures en ta compagnie, petit merdeux ! Et avec elle, tu vas déguster ! Elle va te faire regretter Piemare,  crois-moi!

_ Pou… pourquoi ?

_ Je la connais bien ! Elle a demandé que tu sois attaché par terre, en croix… Je sais déjà qu’elle va s’amuser à t’étouffer sous son gros cul blanc… que tu devras lécher en profondeur… Et sa chatte énorme aussi ! On te donnera une double dose de tisane !

_ Non ! S’il vous plaît, non !

_ Oh si ! reprit la grande brune. La Berchand est longue à jouir et Maria m’a dit qu’elle adorait griffer son mec du moment, quand elle le baise ! Et qu’elle adore écraser des couilles sous ses pieds !

L’appréhension se mua en terreur. J’allais de nouveau être attaché, me retrouver sans défense, subir des sévices interminables infligés par une femme qui paierait pour ça. Ma poitrine se serra d’une angoisse indescriptible et de nouvelles larmes roulèrent sur mes joues.

_ Pitié… Non…

Mais qu’avais-je à espérer de ces deux garces qui ne voyaient plus en moi qu’un moyen facile de gagner de l’argent… et un jouet sexuel.

_ Tu feras une petite sieste cette après-midi, souffla Nadia. Après le déjeuner. En attendant, tu vas te coucher et nous montrer ce que tu sais faire avec ta langue et ta queue !

Un jouet sexuel avec lequel elles pourraient s’amuser à volonté…

Par aplaisirs
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